Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Le blog de Françoise
  • Le blog de Françoise
  • : Ma nation, c'est l'infini. Aller au-delà des frontières, terrestres, planétaires, galactiques, ethniques, culturelles, génétiques, sexuelles et autres, c'est le début de la liberté et de l'amour universel. My nation is the Infinite. To go beyond terrestrial, planetary, galactical, ethnic, genetic, sexual and others frontiers. This is the beginning of freedom and universal love.
  • Contact

Mes lectures

contactez-moi

8 janvier 2010 5 08 /01 /janvier /2010 13:47

http://www.ledevoir.com/societe/sante/280070/manger-moins-de-sucre-allonge-la-vie

Pauline Gravel 24 décembre 2009 Santé

Succomber aux multiples sucreries qui nous sont offertes en ce temps de festivité n'est pas la meilleure stratégie pour vivre longtemps et à l'abri du cancer, révèlent des chercheurs de l'Université de l'Alabama à Birmingham dans un article publié dans la version électronique du FASEB Journal (journal de la Federation of American Societies for Experimental Biology).

Ces chercheurs ont montré comment la restriction calorique, plus particulièrement une diète réduite en glucose, aide les cellules humaines à vivre plus longtemps. Pour ce faire, ils ont cultivé en parallèle des cellules pulmonaires humaines normales et des cellules pulmonaires humaines précancéreuses. Les deux types de lignées cellulaires recevaient des niveaux normaux ou réduits de glucose. Pendant plusieurs semaines, les chercheurs ont observé l'aptitude des cellules à se diviser ainsi que leur taux de survie selon qu'elles étaient privées ou non de glucose.

Il est ainsi apparu que la restriction en glucose induisait l'apoptose (mort cellulaire programmée) et l'inhibition de la croissance des cellules précancéreuses, tandis qu'elle favorisait un allongement de la durée de vie des cellules normales. En d'autres termes, les cellules normales vivaient plus longtemps, alors que les cellules précancéreuses mouraient.

Plus particulièrement, chez les cellules précancéreuses, la restriction en glucose diminuait l'activité du gène hTERT qui synthétise la télomérase, une enzyme qui répare les télomères, genre de capuchon qui protège l'extrémité de nos chromosomes et qui raccourcit au fil du temps à l'occasion de chaque division de la cellule. Or la disparition du télomère sonne le glas de la vie d'une cellule. Par ailleurs, la restriction en glucose accroissait aussi l'expression du gène p16 qui ralentit la croissance cellulaire. Les cellules normales, quant à elles, subissaient les effets opposés.

Selon les auteurs de l'étude, ces résultats mettent en lumière «les mécanismes épigénétiques [qui ne sont pas dus à des mutations, mais à des effets de l'environnement sur les gènes] d'une stratégie de contrôle nutritionnel qui pourraient aboutir à une thérapie anticancéreuse aussi bien qu'à une approche anti-vieillissement».

Bien que ces résultats semblent proposer une piste vers une possible fontaine de jouvence qui écarterait le cancer et inciterait nos cellules à vivre plus longtemps, Pierrette Gaudreau, spécialiste en neuroendocrinologie du vieillissement au CHUM, croit que ces résultats doivent d'abord être validés avec des cultures de cellules primaires, ou natives, qui auront été isolées d'un organe et qui n'auront pas été «transformées comme les lignées de cellules immortalisées que les chercheurs ont utilisées dans leur étude et qui donnent toujours de beaux résultats». Il est également «important que ces résultats soient confirmés avec des cellules provenant d'autres tissus que le poumon, comme des neurones», ajoute-t-elle.

Partager cet article

Repost0
8 janvier 2010 5 08 /01 /janvier /2010 13:23



http://www.cyberpresse.ca/international/europe/200912/31/01-935264-offensive-bonte-a-londres.php

Mali Ilse Paquin, collaboration spéciale
La Presse
(Londres) Distribuer des tonnes de nourriture aux pauvres, offrir des
milliers de paniers de Noël: l'affaire des oeuvres de charité? Pas
pour trois jeunes Londoniens au grand coeur, dont le travail a été
salué par le maire de Londres. Armé seulement d'un téléphone et d'une
volonté de fer, le trio de «L'Offensive bonté» a exaucé les souhaits,
petits et grands, de milliers de personnes.

Des jeunes Londoniens tentent de répandre un nouveau virus dans les
rues de Londres: celui de la bonté. Leur devise? « tre gentil, c'est
cool!»

Tout a commencé par une belle journée d'été, en août 2008. Les trois
colocataires David Goodfellow, Bennie Crane et James Hunter ont
interpellé des passants dans un parc avec une drôle de question.

«Que pourrait-on faire pour vous?» ont-ils demandé à des marcheurs étonnés.

Les réponses? Des chocolats pour une grand-mère. Une guitare
électrique pour un garçon. Un party d'anniversaire pour une fillette.

Les bons samaritains se sont mis au travail. Après plusieurs refus,
des entreprises ont répondu à l'appel. La grand-mère a eu ses truffes,
le garçon, sa guitare Yamaha. La fillette a fêté son 11e
anniversaire... avec les acrobates du cirque de Moscou!

Le groupe «L'Offensive bonté» (The Kindness Offensive) était né.

«Ç'a fait boule de neige. C'est une vraie partie de plaisir de donner.
C'est une façon géniale de rencontrer des gens et c'est plus
gratifiant que de rester à la maison», dit David Goodfellow, 30 ans, à
La Presse.

Les gars ne font pas les choses à moitié. En octobre 2008, ils ont
offert 25 tonnes d'aliments non périssables à 14 refuges pour
sans-abri, gracieuseté de General Mills. À la suite d'un coup de fil
au géant alimentaire, des camions de 18 roues s'étaient garés devant
leur maison, à la stupéfaction du voisinage.

Bonté contagieuse

Depuis, ils multiplient les coups d'éclat. Ils ont par exemple servi
500 000 crêpes en février. Les vidéos de leurs exploits ont été vues
des millions de fois sur YouTube.

Leur effort est remarqué. Et apprécié. «J'ai eu les larmes aux yeux, à
Noël dernier, dit Robert Williams, un bénévole d'origine canadienne.
Ils offraient des paniers de cadeaux à tout le monde dans la rue, même
aux balayeurs de trottoirs.»

Le maire de Londres est aussi sous le charme. «Ils ont apporté une
joie incalculable à des milliers de Londoniens», a dit Boris Johnson
en mars denier.

La joyeuse bande prouve que la bonté est effectivement contagieuse. Ce
sont les bénévoles et non les quémandeurs qui se bousculent au
portillon. «Nous avons une ou deux offres par jour, explique David
Goodfellow. Nos volontaires sont âgés de 7 à 77 ans. Des entreprises
nous approchent aussi. Beaucoup de gens assis à leurs bureaux veulent
faire du bien dans ce monde.»

L'année 2010 s'annonce bonne. «Tout ce que nous avons fait jusqu'à
présent, c'est de la bagatelle comparativement à ce que nous
préparons, dit-il. Si des multinationales lisent ces lignes, nous
avons besoin de toute l'aide possible.»

thekindnessoffensive.com

__._,_.___

Partager cet article

Repost0
8 janvier 2010 5 08 /01 /janvier /2010 10:24
http://bellaciao.org/fr/spip.php?article96394

lundi 4 janvier 2010 (13h19)
Le Capitalisme asiatique, notamment la Chine et la Corée du Sud sont en
concurrence avec les États-Unis pour le pouvoir mondial. L'Asie en tant que
puissance mondiale connaît une croissance économique dynamique, tandis que
les Etats-Unis poursuivent une stratégie militaire axée sur la construction
de l'Empire.
James Petras. Janvier 3, 2010
« One Day's Read », « Une lecture quotidienne- NdT), du « Financial Times ».
Même une lecture succinte d'un seul numéro du « Financial Times », (Décembre
28, 2009), illustre les diverses stratégies possibles vers l'édification d'un
empire. En première page, l'article principal sur les États-Unis analyse ses
conflits militaires expansionnistes et sa «Guerre contre le Terrorisme",
sous le titre "Obama exige un récapitulatif des exigences antiterroristes».
En revanche, on y trouve deux pages, et un article, sur la Chine, qui
décrivent le lancement par la Chine du train de voyageurs à longue distance
le plus rapide du monde et la décision de la Chine de maintenir sa monnaie
liée au dollar américain en tant que mécanisme visant à promouvoir un solide
secteur d'exportation. Si Obama focalise les intérêts américains sur un
quatrième front de combat (Le Yémen) dans la «Guerre contre le Terrorisme»,
(Après l'Irak, l'Afghanistan et le Pakistan), le « Financial Times »
rapporte à la même page qu'un consortium sud-coréen a remporté un contrat de
20,4 milliards de dollars pour développer des centrales nucléaires civiles
aux Emirats arabes unis, battant ainsi ses concurrents américains et
européens.
A la page deux du FT il y a un article plus long sur l'élaboration du
nouveau système ferroviaire chinois, mettant en évidence sa supériorité sur
les service ferroviaire des Etats-Unis : Le train ultramoderne chinois
pourra transporter des passagers entre deux grandes villes, (1.100
kilomètres), en moins de 3 heures, tandis que l'Express US d' « Amtrack »
met 3 heures et demie pour couvrir les 300 k séparant Boston et New York.
Alors que le système ferroviaire de transport de voyageurs américain se
détériore par manque d'investissement et d'entretien, la Chine a dépensé 17
milliards de dollars pour la construction de sa ligne Express. La Chine
envisage de construire 18.000 k. de voies nouvelles pour son système
ultramoderne, en 2012, tandis que les Etats-Unis ont dépensé un montant
équivalent au financement pour le «Surge » militaire en Afghanistan et au
Pakistan, ainsi que pour l'ouverture d'un nouveau front de guerre au Yémen.
La Chine construit un système de transport reliant les producteurs et les
marchés du travail des provinces de l'intérieur avec les centres de
fabrication et les ports sur la côte, alors qu'à la page 4, le « Financial
Times » décrit la façon dont les États-Unis sont soudés à leur politique de
confrontations de la "menace islamiste" avec leur «guerre contre le
terrorisme» infinie. De longues décennies de guerres et d'occupation des
pays musulmans ont détourné des centaines de milliards de dollars de fonds
publics vers une politique militariste, sans bénéfice pour les Etats-Unis,
tandis que la Chine modernise son économie civile. Alors que la Maison
Blanche et le Congrès subventionnent et flattent le militarisme colonial de
l'Etat d'Israël et ses capacités de ressources et de marché insignifiantes,
avec pour résultat de se mettre à dos 1,5 milliards de Musulmans, (Financial
Times - page 7), le produit intérieur brut de la Chine, (PIB,) a été
multiplié par 10 au cours des 26dernières années, (FT - page 9). Alors que
les États-Unis ont consacré plus de 1,4 milliards de dollars à Wall Street
et au Complexe militaro-industriel, en augmentant les déficits courants
budgétaires, et en doublant le chômage et la perpétuation de la récession,
(FT - page 12), le Gouvernement chinois a mis en place un plan de relance
dédié à sa fabrication nationale et aux secteurs de la construction,
induisant à une croissance de 8% dans le PIB, une réduction significative du
chômage et de "une relance économique en Asie, en Amérique latine, et en
Afrique,(Egalement à la page 12).
Alors que les États-Unis épuisaient leur temps, leurs ressources et leur
personnel dans des opérations électorales en faveur de leurs clients
corrompus en Afghanistan et en Irak, et en participant à des médiations
inutile entre leur intransigeant partenaire israélien et leur impuissante
victime palestinienne, le Gouvernement sud-coréen, soutenu un consortium
dirigé par le « Korea Electric Power Corporation » finalisait un contrat de
20,4 milliards de dollars sur le traitement l'énergie nucléaire, ouvrant la
voie à d'autres contrats de plusieurs milliards de dollars dans la région,
(FT - page 13).
Alors que les Etats-Unis dépensaient plus de 60 milliards de dollars dans
«la « Sécurité intérieure », en multipliant le nombre et la taille de ses
« Homeland' security agencies » dans la poursuite de potentiels
«terroristes», la Chine investissait 25 milliards de dollars afin de
"consolider ses relations commerciales énergétiques» avec la Russie, ( FT -
page 3).
Cette analyse et ces les articles et titres concernant une seule parution du
« Financial Times » reflètent une réalité plus profonde, celle qui illustre
un clivage majeure dans le Monde d'aujourd'hui. Les pays d'Asie, menée par
la Chine, ont atteint un statut de puissance mondiale sur la base de leurs
énormes investissements nationaux et étrangers dans le secteur
manufacturier, le transport, la technologie, l'exploitation minière, et le
traitement des minéraux. En revanche, les Etats-Unis sont devenus une
puissance mondiale en déclin avec une société qui se détériore, pur produit
de son appareil militaire et de son économie financière spéculative axée sur
l'Impérialisme militaire :
Washington courtise des clients militaires mineurs en Asie, tandis que la
Chine élargit ses accords d'investissement commerciaux avec les principaux
partenaires économiques : Russie, Japon, Corée du Sud et autres. Washington
obère l'économie nationale pour financer des guerres à l'étranger.
La Chine extraits des minéraux et des ressources énergétiques pour créer son
marché du travail intérieur dans la fabrication.
Les États-Unis investissent dans les technologies militaires pour cibler des
guérillas locales qui combattent les régimes clients des États-Unis, la
Chine investit dans la technologie civile et les exportations compétitives.
La Chine commence à restructurer son économie vers le développement
intérieur du pays et attribue de plus en plus de dépenses sociales afin de
remédier à ses graves déséquilibres et les inégalités, alors que les
Etats-Unis consacrent leurs ressources aux sauvetages et au renforcement du
secteur financier parasitaire, qui a dépouillé les industries (Actifs
toxiques via les fusions et acquisitions) et investit dans des objectifs
financiers sans impact sur l'emploi, la productivité ou la compétitivité.
Les États-Unis multiplient les guerres et les la mise en place de troupes au
Moyen-Orient, en Asie du Sud, dans la Corne de l'Afrique et les Caraïbes, la
Chine fournit des investissements et des prêts pour plus de 25 milliards de
dollars pour construire des infrastructures, pour l'extraction minière, la
production d'énergie, et les usines d'assemblage en Afrique.
La Chine signe des accords d'investissement et de le commerce pour plusieurs
milliards de dollars avec l'Iran, le Venezuela, le Brésil, l'Argentine, le
Chili, le Pérou et la Bolivie, pour sécuriser son accès stratégique à l'énergie,
les ressources minérales et agricoles ; Washington dépense 6 milliards de
dollars en aide militaire à la Colombie, sécurise sept bases militaires du
président Uribe (Pour menacer le Venezuela), soutient un coup d'état
militaire au minuscule Honduras et accuse le Brésil et la Bolivie qui
diversifient leurs liens économiques avec l'Iran.
La Chine augmente ses relations économiques avec les économies dynamiques d'Amérique
latine, intégrant ainsi plus de 80% de la population du continent, les
États-Unis en partenariat avec l'État failli du Mexique, qui a la plus
mauvaise performance économique de l'Hémisphère, et où de puissants Cartels
de la drogue contrôlent de vastes régions et noyautent profondément l'appareil
d'Etat.
Conclusion.
La Chine n'est pas un pays capitaliste exceptionnel. Sous le capitalisme
chinois, le Travail est exploité, les inégalités d'accès aux richesses et
aux services sont généralisées ; les paysans et agriculteurs sont déplacées
par des projets de méga barrage et des entreprises chinoises extraient sans
complexes des minéraux et autres ressources naturelles dans le Tiers Monde.
Cependant, la Chine a créé des dizaines de millions d'emplois
manufacturiers, ont réduit la pauvreté plus rapidement, pour bien plus de
personnes dans le plus court laps de temps dans l'Histoire. Ses banques
financent principalement la Production. La Chine ne bombarde pas, n'envahit
pas, ne ravage pas d'autres pays. En revanche, le Capitalisme américain est
lié à une monstrueuse machine militaire mondiale qui draine l'Economie
nationale et abaisse la Norme nationale de vie afin de financer ses guerres
interminables à l'Etranger. Finances, immobilier et Capital commercial sont
sapé le Secteur manufacturier, en créant leurs bénéfices de la spéculation
et des importations bon marché.
La Chine investit dans les pays riches en pétrole, les Américains les
attaquent. La Chine vend des assiettes et des bols pour les fêtes de mariage
afghan ; les drones US les bombardent. La Chine investit dans les industries
d'extraction, mais, contrairement aux colonialistes européens, elle
construit des chemins de fer, ports, aérodromes et fournit du crédit
facilement. La Chine ne finance pas et n'arme pas les guerres ethniques et
les Révolutions colorées comme le fait la CIA américaine. La Chine
autofinance sa propre croissance, son commerce et son système de transport ;
les États-Unis surfent sur une dette de plusieurs milliards de dollars pour
financer leurs guerres sans fin, renflouer leurs banques de Wall-Street et
pour soutenir d'autres secteurs non productifs tandis que des millions de
gens sont au chômage.
La Chine va se développer et exercer ses capacités par le Marché, les
États-Unis s'engagent dans des guerres sans fin sur la voie de la faillite
et la pourriture interne. La croissance diversifiée de la Chine est liée à
des partenaires dynamiques économiques ; le Militarisme américain s'est liée
aux Narco-Etats, aux régimes des Seigneurs de guerre, aux Dictateurs des
républiques bananières et à Israël, le pire exemple de régime colonial
raciste.
La Chine attire les consommateurs du monde entier. Les guerres globales des
États-Unis provoquent le Terrorisme ici et à l'étranger. La Chine peut
rencontrer des crises sociales et des révoltes populaires, mais elle a les
ressources économiques pour les apaiser. Les États-Unis sont en crise et
commencent à faire face des révoltes intérieure, mais ils ont épuisé leur
crédit et leurs usines sont toutes à l'étranger et leurs bases d'outre-mer
et leurs installations militaires sont des passifs, et non actifs. Il n' y a
pas assez d'usines aux États-Unis pour réembaucher les travailleurs
désespérés : Un bouleversement social pourrait voir les travailleurs
américains se réapproprier les coquilles vides de leurs anciennes usines.
Pour redevenir un état «normal», nous devons tout recommencer : Fermer
toutes les banques d'investissement et les bases militaires à l'étranger et
revenir à l'Amérique. Nous devons recommencer le longue marche vers la
reconstruction de l'industrie au service de nos besoins intérieurs, à vivre
au sein de notre propre environnement naturel et abandonner la construction
de l'Empire en faveur de la construction d'une République socialiste
démocratique.
Quand allons-nous vraiment analyser le « Financial Times » ou tout autre
quotidien, et tirer les conclusions qui s'imposent au sujet de notre propre
ligne ferroviaire à grande vitesse transportant des passagers américains de
New York à Boston en moins d'une heure ? Quand relanceront-nous nos propres
usines d'approvisionnement de nos propres unités de commercialisation ?
Quand allons-nous construire des éoliennes, solaires ou océanique et des
générateurs d'énergie ? Quand allons-nous abandonner nos bases militaires et
abandonner les Chefs de guerre du monde, les trafiquants de drogue et les
terroristes face à la justice de leur propre peuple ?
Serons-nous jamais lus à ce sujet dans le « Financial Times » ?
En Chine, tout a commencé par une révolution ...
James Petras est l'auteur de plus de 62 livres publiés en 29 langues, et
plus de 600 articles dans des revues professionnelles, notamment l' «
American Sociological Review », « British Journal of Sociology », « Social
Research », et le« Journal of Peasant Studies ». Il a publié plus de 2000
articles dans des revues non professionnelles telles que le « New York
Times », « The Guardian », « The Nation », « Christian Science Monito »r,
« Foreign Polic »y, « New Left Review », « Partisan Review », « Les Temps
Modernes », « Le Monde Diplomatique », et ses commentaires sont largement
diffusés sur Internet. James Petras est un ancien professeur de sociologie à
l'Université de Binghamton, New York, et a cinquante ans d'adhésion à la
lutte des classes, l'auteur est conseiller pour les paysans sans terre et
sans emploi au Brésil et en Argentine et est co - auteur de « Mondialisation
Unmasked », (Zed Books ), et Zionism, Militarism and the Decline of U.S.
Power (Clarity Press, 2008. Sa dernière ouvre est « Global Depression and
regional wars : the United States, Latin America and the Middle East »,
(Clarity Press, September 2009). Il peut être contacté à l'adresse :
jpetras@binghamton.edu.
http://alethonews.wordpress.com/201...
Traduct Gilong.
G.L.


Partager cet article

Repost0
11 décembre 2009 5 11 /12 /décembre /2009 14:17

http://www.objectifliberte.fr/2009/12/le-co2-nest-pas-un-polluant.html


4 décembre 2009

Alors que la conférence de Copenhague est pour nos médias l'occasion de nous servir une campagne de propagande climatique alarmiste sans précédent, analysons aujourd'hui une des plus extraordinaires contre-vérités de la "néo-science" issue des cogitations de la confrérie du réchauffement climatique global: "le CO2 considéré comme un polluant" ! Allons à la rencontre des terrifiants dangers que nous fait courir ce nouvel ennemi public numéro 1... Brrrr...

CO2 "polluant" : un concept récent mais déjà bien enraciné dans l'opinion et les médias

Aujourd'hui, la littérature officielle et la presse affirment souvent que le dioxyde de Carbone ( CO2 ) est un "polluant": la taxe carbone, qui pénalisera fiscalement les systèmes émettant du CO2 (moteurs, principalement), est vendue comme un outil de lutte contre la pollution, le CO2 étant ici considéré comme polluant du fait de ses supposées propriétés climatiques, et du fait qu'un réchauffement qui serait provoqué par le CO2 serait catastrophique. Les systèmes d'échange Cap and Trade sont au départ conçus pour inciter les entreprises à réduire leurs émissions de substances polluantes, l'appliquer au CO2 revient donc à classer ce gaz comme un polluant. Les sites ministériels sont truffés d'allusions au caractère polluant du CO2, un exemple ici.

Lorsque vous débattez avec des "alarmistes militants" ou simplement des gens de bonne foi conditionnés par la propagande ambiante, sur l'absence de relation claire entre CO2 et températures, avec de bons arguments, il n'est pas rare que votre interlocuteur essaie de "changer de champ de bataille" et vous déclare en substance que "certes, le CO2 n'est peut être pas aussi coupable (sic) qu'on ne le dit pour le climat, mais est-ce une raison pour continuer à polluer ?"

Aucun être humain sérieux n'est favorable à une poursuite délibérée et irraisonnée des pollutions chimiques. Mais cela ne veut pas dire que le CO2 doive être la cible de nos actions.

Car prétendre lutter contre la pollution en luttant contre les rejets de CO2 est une hérésie scientifique absolue: Le CO2 est tout, sauf un polluant !

Attention: ne pas confondre, comme semblent à ma grande surprise le faire certaines personnes dans certains forums, le CO, monoxyde de carbone, gaz mortel qui est issu de la mauvaise combustion de chaudières ou de moteurs mal réglés, avec le CO2, dioxyde de carbone, dont il est question ici. Je présume que cette erreur n'est pas faite par les lecteurs réguliers d'objectif liberté...

Toxicité: Le CO2 n'est jamais toxique pour les humains
aux concentrations observables

Tout un chacun sait que l'air que nous expirons est plus riche en CO2 que celui que nous inspirons: le CO2 est un produit "d'échappement" de l'activité physique. Ce gaz coule dans nos veines, et traverse nos poumons.

Tout est question de degré, une substance peut être parfaitement inoffensive à des taux "ordinaires" et empoisonnante au delà. Ne risquons nous pas de "polluer" l'atmosphère en y augmentant le taux de CO2 ?

Et bien non. Les concentrations de CO2 "rencontrables" hors expériences de laboratoire ne sont en aucun cas toxiques, et les seuils de mortalité sont purement théoriques. Les données qui suivent sont traduites du guide en ligne des inspecteurs de sécurité des bâtiments aux USA:

Tout d'abord, une convention d'écriture 1,000,000 ppm d'un gaz = 100 % de concentration de ce gaz, et 10,000 ppm d'un gaz dans l'air=1% de concentration.

La concentration actuelle du CO2 est de 385 ppm, soit 0,038%.
Une maison fermée renferme, selon la qualité de son aération, de 600 à 800ppm, liés à la respiration des êtres vivants qui s'y trouvent. Soit 0,06/0,08%. Ces concentrations sont celles qui pourraient être rencontrées dans l'atmosphère au siècle prochain selon les estimations les plus pessimistes du GIEC.

Un auditorium fermé et moyennement ventilé peut atteindre 1200 ppm,0,12% . Aucune personne ne sera incommodée par le CO2 lui même, ceci dit, la mauvaise ventilation aura d'autres effets pervers. Les normes de sécurité considèrent qu'au dela de 1000ppm, une pièce présente un défaut de ventilation potentiellement gênant.

A 1%, soit 10 000 ppm, soit 25 fois plus que dans l'air ambiant extérieur, et 14 fois plus que dans une maison, ce qui est inconcevable, même dans un auditorium très mal ventilé, des occupants sont susceptibles de ressentir une somnolence.

C'est à partir de 20 000ppm, soit 2%, que des problèmes de nature médicale peuvent survenir: lourdeurs de poitrine et essoufflement. Ce niveau ne peut pas se rencontrer en situation naturelle, les effets de telles concentrations ont été étudiés en laboratoire.

A 3%, la respiration devient deux fois plus rapide que la normale. A 5%, quatre fois plus. à 5% (50 000 ppm, 125 fois les niveaux actuels), le CO2 est directement toxique voire mortel, par détresse respiratoire principalement.

On le voit, avant que le CO2 ne devienne un"polluant direct", il y a une marge énorme: le GIEC prévoit 560ppm à la fin du 21ème siècle dans l'atmosphère. Le CO2, à l'état naturel, quelle que soit sa concentration, n'est pas un problème pour la vie humaine, et d'une façon générale pour les mammifères. Je n'ai pas de données de toxicité pour les autres espèces (oiseaux, insectes...), mais même les sites alarmistes sont assez peu prolixes sur la question. S'il y avait le moindre risque, nous serions bombardés de messages plus pessimistes les uns que les autres, soyez en sûrs. Ce n'est pas une preuve, juste une indication...

L'acidification des océans: une bien mauvaise roue de secours
pour alarmistes en mal d'anti-carbonisme

Qu'à cela ne tienne, le CO2 se voit affublé d'autres défauts rédhibitoires. Maintenant que les alarmistes sentent le vent tourner en sa défaveur en matière de température, un nouveau lapin sort de leur chapeau: le CO2 augmenterait l'acidité des océans et menacerait les barrières de corail et la vie océanique, rien moins. Ce papier (PDF) d'une organisation alarmiste parle d'un arrêt de la formation des coraux, voire... De leur possible dissolution ! rien de moins.

On imaginerait presque de pauvres cétacés se débattre dans un bain d'acide sulfurique, et des panaches de fumée s'élevant au dessus des barrières de corail attaquées à l'acide chlorhydrique !

Court rappel de niveau lycée : les Ph se mesurent d'une échelle logarithmique (base 10) de 1 (acide pur) à 14 (soude pure), que l'eau parfaitement pure à un pH de 7 dit "Neutre", que tout pH inférieur à 7 caractérise une solution "acide", et tout pH supérieur à 7 caractérise une solution "basique" ou "alcaline".

La réalité est totalement différente. Plusieurs articles clés sont résumés et vulgarisés par David Middleton, un géophysicien employé par l'industrie du pétrole (horreur suprême, le diable personnifié !), qui tient un blog de réinformation scientifique très recommandable. Je résume son propos:

Selon Pelejero et al ' (2005, lien payant), le pH moyen de la mer de Chine, reconstitué à partir, notamment, des coraux, a varié de façon cyclique, entre 1750 et maintenant, entre 8,17 et 7,90, ce point bas étant atteint en 1990. Le lecteur avec des notions... basiques (!) de chimie remarquera d'ailleurs que l'océan est légèrement alcalin, et pas acide. Parler d'acidification lorsque le pH baisse en direction de sa valeur neutre n'est pas scientifiquement inexact, mais le choix du terme ne paraît pas anodin: le terme acidification fait plus peur que "neutralisation", par exemple...

(note personnelle : je serai curieux de savoir si les valeurs observées dans des mers très fermées comme la mer noire ou la Baltique, avec des températures différentes, sont du même ordre... Pas trouvé).

Selon ces chercheurs, même si le point le plus bas correspond à la période 1988-90, dernier échantillon de leur mesure, aucune tendance longue à l'acidification ne peut être observée, au contraire, l'océan semble connaître des variations cycliques de son PH entre 7,9 et 8,2, en gros.

Mieux, ces variations cycliques sont bien corrélées avec ce que les océanographes appellent la "pacific interdecadal oscillation", un mouvement périodique de réchauffement et refroidissement du pacifique dont on pense qu'il a une influence importante (et multiséculaire) sur notre climat, et dont les causes déterminantes profondes sont à ce jour encore mal expliquées.

Une autre étude (wei et al), citée dans une étude du SPPI dont je reparlerai plus loin, confirme le caractère cyclique du pH des eaux marines près du récif corallien d'Australie, avec une fourchette un peu plus large, 7,6/8,2.

Bref, la variation du CO2 atmosphérique n'est pas corrélée avec la variation cyclique du PH des océans, mais l'oscillation interdécadale des températures de l'océan pacifique l'est.

Mais qu'importe: à ce stade, un alarmiste pourrait observer que "depuis le XXème siècle, nous rejetons tant de CO2 que cela pourrait perturber le cycle naturel et l'acidification induite menacer l'équilibre biologique des océans". Cette hypothèse mérite d'être examinée.

Middleton a utilisé les données de Pelejero et a représenté graphiquement la corrélation entre ph et vitesse de formation du corail: la corrélation est quasi-nulle.

Enfin, et ce n'est pas la moindre des choses, deux recherches récentes, (Yglesias et Rodriguez, 2008 - Checkley and al, 2009), concluent, soit de l'observation in vivo, soit de tests en laboratoire, que d'une part la formation de coraux s'est plutôt accélérée avec la concentration de CO2, d'autre part que la croissance des petits poissons au départ de la chaîne alimentaire marine est supérieure lorsque le taux de CO2 dissout dans l'eau (moindre pH) s'élève.

Le Global Warming Science and Public Policy Institute publie une étude (Idso et Ferguson) plus complète, ou plutôt une compilation d'études qui recense plus de 150 références dont environ 10% pro alarmiste (reprises de citations du GIEC) et le reste qui va dans le sens opposé.

Il en ressort, comme dans ce qui précède, que non seulement le pH moyen des océans ne sort pas d'une certaine épure (7,9/8,2) sur des durées longues (l'étude de Pelejero est complétée par des études allant dans le même sens), Mais que des variations saisonnières peuvent être très importantes, comme l'ont montré des chercheurs danois en mer du nord (Middleboe et al.), avec des pointes supérieures à 9 (ph basique, pas acide) en été.

L'ensemble des études montre que les périodes de pH bas (plus de CO2) sont plutôt favorables au développement de la vie, et que même en créant en laboratoire des conditions de Ph en dessous de 7,8, voire très en dessous, la vie s'adapte et ne se détruit pas.

Deux publications (Lymen & Junniper, 2006 - Tunnicliffe, 2009) citent l'observation d'un milieu naturel fortement impacté par des fuites de sulfures volcaniques au niveau de l'arc des mariannes, avec un pH variant de 5,36 à 7,29, doit des conditions "infernales" par rapport à la fourchette 7,9/8,2 (rappelons que le PH est une échelle logarithmique, et qu'un point de PH en moins signifie une concentration d'ions H+ 10 fois plus élevée), et montre que diverses variétés de coquillages, d'une durée de vie de 4 décades, ont su s'adapter à ces variations et ces conditions extrêmes, et que leur croissance n'est "que" deux fois moins rapide que celle des mêmes espèces placés en milieu à pH>7,8 malgré l'acidité ambiante. Le Graphe suivant (page 15 de l'étude SPPI, dre'ath & al) montre que la formation du corail depuis l'année 1600 a fortement augmenté, et que le léger déclin observé depuis 1960 nous laisse tout de même avec une formation
de corail plus rapide de 23% qu'en 1600. L'hypothèse qui prévaut est que l'augmentation de CO2 est favorable à la photosynthèse marine qui elle même nourrit la calcification et le récif corallien.

Notons par ailleurs que certains papiers alarmistes ont présenté ce Graphe à partir de 1850. Inutile d'expliquer pourquoi !

D'autres études récentes confirment que plus de CO2 est bénéfique pour la vie marine. Ainsi, une étude de la Woods Hole Oceonographic Institution a montré qu'en laboratoire, il fallait que les taux de CO2 dissous dans l'eau correspondent à des concentrations atmosphériques multipliées par 7 (soit 2800 ppm) pour que des phénomènes de dissolution des constituants calcaires de coraux et de coquillages apparaisse. La plupart des espèces ne semblent pas réagir jusqu'à des concentrations trois fois plus élevées que la normale. Or, dans les pires scénarios du GIEC, le CO2 atmosphérique atteindrait 900 ppm dans 2 siècles. Et encore la façon dont le GIEC présente les cycles du CO2 est elle aussi contestée... Mais je garde cela pour plus tard.

Bref, par quel bout que l'on prenne le problème, l'augmentation du taux de CO2 atmosphérique n'est pas un problème pour les océans, et d'ici deux siècles, les substituts non fossiles au pétrole devraient être pleinement opérationnels dans le domaine des transports, ce qui devrait ralentir légèrement le rythme des émissions !

Que certaines barrières de corail ou certaines formes de vie marine puissent être attaquées par d'autres pollutions purement chimiques est indiscutable, et indiscuté: ce sont ces pollutions là qui doivent être la cible de l'intervention législative, et pas le faux problème du CO2.

Plus de CO2 = plus de plantes !

Tout élève de CM2 sait que le CO2 est le gaz capté par les plantes par photosynthèse pour assurer leur croissance. Mais les niveaux actuels de CO2 atmosphériques sont ils les meilleurs pour favoriser la pousse des plantes ? L'agriculture, ou les forêts, se porteraient-elles mieux ou moins bien si, toutes choses égales par ailleurs, les taux de CO2 atmosphériques venaient à augmenter ?

Le phénomène est documenté depuis longtemps par une abondante recherche, car le milieu agricole est depuis longtemps sensible à ces questions. Et la conclusion est absolument sans appel: plus de CO2 implique une meilleure pousse des végétaux.

A tel point que les serres (les vraies !) sont souvent équipées d'injecteurs de CO2, quelques exemples de ces dispositifs figurent ci dessous.

L'expérience agricole montre que des niveaux de CO2 sous serre de 750 à 1000ppm produisent des pousses végétales bien plus abondantes (une augmentation de 300ppm / au taux atmosphérique produit en moyenne une surpousse de 33%), et parfois qualitativement supérieures (plus de sucre dans les fruits, plus de couleurs dans les fleurs, etc...).

Le site Co2science maintient une très impressionnante base de données de centaines d'études et observations qui corroborent cette affirmation, espèce par espèce.

Et le climat, alors ?

A ce stade, nous voyons que le CO2 ne pose aucun problème direct de nature biologique ni pour la vie terrestre, ni pour la vie marine, et ce, même à des concentrations trois à quatre fois supérieures à celles que nous observons actuellement.

Notamment, l'acidification des océans, argument hélas repris de bonne foi par des scientifiques pourtant prudents dans leurs affirmations tels que Vincent Courtillot ou Claude Allègre, ne résiste pas à un examen approfondi. Ce soudain intérêt pour un problème qui n'en n'est pas un ressemble à une nouvelle et misérable tentative des mouvements alarmistes pour forcer coûte que coûte les sociétés consommatrices de pétrole et charbon à changer de mode de vie. "A trick", comme dirait un mail de Phil Jones. Dans lequel certains sont tombés.

Bref, il ne reste comme possibilité de classer le CO2 comme "polluant" qu'une très éventuelle implication de ce gaz dans l'augmentation des températures terrestres. Or, là aussi, les publications qui remettent en cause ce dogme abondent. Cet article de JM Belouve paru ici même, concluant à la non responsabilité du CO2 dans l'évolution des températures à partir de travaux de plusieurs équipes de très haut niveau, en a déjà évoqué certaines.

Je vous renvoie aussi à cette conférence de Vincent Courtillot montrant à partir de plusieurs travaux d'équipes spécialisées, que le GIEC sous estimé d'un facteur 20 le rôle du soleil dans l'importance des facteurs influant sur le climat, et à cette autre (choisir "Strasbourg") ou l'on apprend qu'il a surestimé d'un facteur 6 celle du CO2.

Après le Climate Gate, la théorie du CO2 comme déterminant majeur
de la température en prend pour son grade !

Ajoutons qu'à la lumière du scandale du ClimateGate, il est désormais probable que l'augmentation de la température moyenne au cours du XXème siècle ait été quelque peu surestimée par le CRU par des artifices purement mathématiques, ce qui affaiblirait encore la thèse de la causalité CO2 ==> températures. Si l'on ajoute à cela les nombreuses fraudes de Mann et Briffa pour masquer l'optimum médiéval et forcer sur l'apparente surpousse des arbres récents, il est évident que la courbe de températures en crosse de Hockey de Mann, censée correspondre à l'accroissement du CO2 issu de notre consommation de fossiles, est fausse.

Joanne Nova, une journaliste scientifique Australienne sceptique de longue date, publie sur son site une compilation de travaux rétablissant les courbes authentiques de température depuis le moyen âge, suite aux diverses réfutations de McIntyre et Loehle antérieures au ClimateGate, mais dont cet épisode confirme combien le problème des falsifications était profond. Je ne copie colle que deux graphes, mais l'article de J. Nova en donne bien plus.

Bon, où est-elle, maintenant, cette fichue corrélation entre CO2 et températures ?

Rappelons en outre que les hypothèses de persistence du CO2 retenues par le GIEC ont été établies à partir de modèles informatisés. Mais le GIEC a pris pour hypothèse que le temps de persistence d'une molécule de CO2 dans l'atmosphère était de 100 années. Il ignore en cela une petite quarantaine de recherches estimant, par plusieurs méthodes différentes, ce temps de rémanence entre 5 et 20 ans, avec une moyenne autour de 10. Oh, et faut il le préciser, ces 37 recherches, dont les mesures ont été effectuées par plusieurs méthodes différentes, datent toutes d'avant 1997, date à laquelle un article de Segalstadt, de l'université d'Oslo, les a recensées. Il y a pu en avoir d'autres depuis. Segalstadt, déjà, en déduisait que les hypothèses du GIEC relèvent du dogme et non de la science, et explique les fautes de raisonnement du GIEC qui conduisent à prendre en compte des durées erronées.

Un catastrophisme injustifié

Ajoutons également que malgré les dires du GIEC, il n'est pas évident qu'une température un poil plus élevée serait maléfique pour la planète. Après tout, alors que la tendance depuis les années 70 est au réchauffement, on a vu ni hausse inconsidérée des niveaux marins, et les déserts d'afrique tropicale ont plutôt eu tendance à reverdir, la chaleur augmentant la condensation et les précipitations. De même, dans cette vidéo, le professeur Reiter, de l'institut Pasteur, un des meilleurs spécialistes des maladies tropicales au monde, affirme que le GIEC, dont il a claqué la porte, ment effrontément (il ne dit pas "se trompe"...) pour faire croire qu'un accroissement des températures signifierait un retour de la malaria sous les latitudes européennes, alors que le moustique a longtemps aussi sévi en Sibérie ou dans les pays nordiques, signe que ce n'est pas une maladie des tropiques, mais une maladie du manque d'hygiène né de la
pauvreté. Il existe de nombreuses réfutations des allégations du GIEC sur le niveau des mers (Notamment par Nils Axel Morner), et sur la plupart des catastrophes attribuées à une mer chaude. Je n'en ferai pas la litanie ce soir, car l'article est déjà long, mais j'y reviendrai ultérieurement.

En clair, le GIEC, à partir de courbes de températures fausses car ouvertement trafiquées, d'hypothèses surprenantes sur la durée de vie du CO2 dans l'atmosphère, et d'assomptions totalement infondées sur les conséquences éventuelles d'une variation des températures, nous affirme que le CO2 est le "principal facteur de réchauffement climatique porteur de calamité". Et voilà comment on transforme un gaz vital en épouvantail pour populations que l'on espère ainsi manipuler.

Pourquoi tant de haine ?

On se perd en conjectures sur l'intérêt de certains groupes à vouloir à tout prix que ce gaz indispensable à la vie, et même bénéfique, soit combattu, jusqu'à vouloir dépenser des sommes astronomiques pour l'enfouir sous terre. Si ces groupes se préoccupaient sérieusement de l'état environnemental de la planète, ne devraient-ils pas se féliciter de ce que l'on découvre que le CO2 a des impacts positifs pour elle ? Ne devraient-ils pas prôner l'abandon de la lutte contre ce gaz vital pour dégager des ressources pour traiter d'autres problèmes écologiques autrement plus importants ?

La réaction anti CO2 des militants écologistes de diverses mouvances, parmi lesquels on trouve bon nombre de ces scientifiques d'un genre nouveau, "les scientifiques d'opinion", relayée par nos politiques rendus aveugles, ne peut que nous interroger sur ses motivations réelles.

Ne s'agit-il pas d'un moyen habile trouvé par ceux qui n'aiment pas les sociétés occidentales, de les mettre à mal, en sabrant leurs économies, dont la combustion des énergies fossiles est pour un temps encore le pilier, et plus encore en sapant dans l'esprit des populations l'appétence au progrès, en persuadant nos contemporains que toute marche vers plus de progrès technologique, plus de croissance économique, sont nuisibles ?

Urgence économique et sociale : abandonner les politiques "anti-CO2" !

Les politiques promulguent un peu partout des lois à la fois financièrement très lourdes et souvent attentatoires à nos libertés (un exemple en France), au nom du combat contre un gaz vital et favorable à la vie, soudainement et malicieusement promu au rang d'ennemi mortel.

Messieurs et mesdames les politiques, STOP, arrêtez cette folie ! vous avez été trompés, ressaisissez vous !

Il convient absolument de suspendre d'urgence toutes les taxes et toutes les législations liberticides ou économiquement castratrices prises au nom de la lutte contre un danger qui n'existe pas.
--------------------

Envie d'en savoir plus sur la grande mystification du "global warming" ?
Retrouvez le dossier "réchauffement climatique" d'objectif Liberté !

Partager cet article

Repost0
3 décembre 2009 4 03 /12 /décembre /2009 13:18

http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=16332

Par Gregory Fegel

Le 30 novembre 2009
Pravda

Internet était en ébullition toute la semaine dernière, avec les nouvelles appelées Climategate par tout le monde, un scandale majeur impliquant une fuite de courriels et de données du Climatic Research Unit (CRU) de l'Université d'East Anglia. Installé dans la ville de Norwich au Royaume-Uni, le CRU est le principal centre « scientifique » qui soutient la théorie du réchauffement climatique. Il donne des « conseils scientifiques » et des directions de conduite au Groupe intergouvernemental d´experts en climat des Nations Unies (GIEC).

Le 17 novembre, un informateur anonyme a téléchargé des courriels et des fichiers de données stockés sur les ordinateurs du CRU et, en utilisant un serveur Internet de Russie, les a divulgué sur un site Internet de « sceptiques du réchauffement planétaire » appelé The Air Vent. Peu après, ces dossiers ont été transmis à de nombreux autres sites sceptiques et à des médias d´information. Cette divulgation comporte plus de 1000 courriels et environ 3.000 documents fournissant de nombreuses preuves de la falsification des données des scientifiques à l'avant-garde de la promotion de la théorie du réchauffement climatique.

Les courriels divulgués font partie de la correspondance entre de nombreuses sommités de la recherche dans le domaine des sciences climatiques et du réchauffement climatique. Parmi elles, Phillip Jones, directeur du CRU, et Keith Briffa, son assistant, Michael Mann de Pennsylvania State, Malcolm Hughes de l'Université de l'Arizona, Kevin Trenberth du Centre national de recherche atmosphérique, James Hansen de l'Institut Goddard des études spatiales de la NASA, et James Holdren, le nouveau « pontife de la science » du Président Barack Obama. L'authenticité des courriels et des documents divulgués a été confirmée par Phillip Jones du CRU, Kevin Trenberth, et d'autres.

Les courriels et les documents révèlent que les scientifiques du CRU et leurs collègues aux États-Unis n´ont pas seulement falsifié leurs données pour « prouver » la réalité du réchauffement mondial, ils ont aussi collaboré pour empêcher les scientifiques qualifiés en désaccord avec la théorie du réchauffement mondial, de publier ou de participer au « processus de révision des pairs. » Chez les scientifiques, la conviction à l´égard du réchauffement n'est pas un consensus, c'est une dictature.

L´informateur, qui a téléchargé et divulgué les fichiers du CRU, a opéré sous le nom d'utilisateur de « FOIA, » une référence à la Freedom of Information Act (FOIA, loi sur la liberté d´information) des États-Unis. Le CRU a maintes fois refusé d´honorer les demandes, faites en vertu de la FOIA, libérer les données sur lesquelles reposent leurs modèles informatiques et conclusions sur le réchauffement planétaire. L´obstruction à la demande de publication d´information en vertu de la FOIA est un délit, tant au Royaume-Uni qu´aux États-Unis, et les auteurs risquent une amende ou une peine d'emprisonnement.

Au Royaume-Uni, l´ancien Chancelier Lord Lawson a exigé une enquête publique indépendante sur la falsification des données du CRU en faveur de la théorie du réchauffement climatique. Aux Etats-Unis, James Inhofe, le sénateur républicain de l'Oklahoma, a annoncé qu'il lancera une enquête sur le scandale du Climategate. Le bureau d´Inhofe a envoyé des lettres aux scientifiques concernés et aux organismes fédéraux, pour les inviter à « conserver les documents (en rapport). » En Australie, cette semaine, dix députés du Parti Travailliste ont démissionné de leurs sièges pour protester contre le soutien de leur gouvernement à la proposition d´Emissions Trading Scheme (magouille système d´échange des émissions), équivalent à celui de l´Union européenne et au Cap and Trade (quota et négoce des émissions de CO2) en instance de législation aux États-Unis.

Le Climategate n'est pas une banale affaire de falsification de données de la part de quelques scientifiques francs-tireurs. La fausse théorie du réchauffement climatique a fourni le socle d'un mouvement politique international, dont l´objectif déclaré est de restructurer totalement l´économie mondiale. Le réchauffement climatique est un abus de confiance perpétré par des scientifiques malhonnêtes, le gouvernement et des dirigeants d'entreprise, qui procurent des occasions d'avancement aux scientifiques véreux.

Si nous ne parvenons pas à stopper l´avancée de la politisation et de l'institutionnalisation de la théorie bidon du réchauffement planétaire, nous connaîtrons très certainement un avenir de « science » contrôlée par décret gouvernemental et un régime mondial qui favorisera la marche de l'industrie tout en imposant des restrictions sévères et des taxes arbitraires au grand public.

C'est un avenir qui justifierait pleinement la résistance et la rébellion des populations du monde qui seront les victimes de cette énorme supercherie planétaire. Si nous ne parvenons pas à arrêter cette entreprise frauduleuse par des moyens légaux, nous aurons certainement un avenir d'oppression généralisée, reposant sur la tromperie, avec la criminalité institutionnalisée qui va avec, et tous les retours de flammes populaires que ça pourrait éventuellement provoquer.


Original : 'Climategate' Exposes the Global Warming Hoax, le 30 novembre 2009.
http://english.pravda.ru/science/earth/30-11-2009/110832-climategate-0

Traduction : Pétrus Lombard

Partager cet article

Repost0
24 juin 2009 3 24 /06 /juin /2009 10:13

Il faut aller jusqu’au bout des choses. Pour en savoir plus http://fr.raelafrica.org/news.php?extend.117

Partager cet article

Repost0
24 juin 2009 3 24 /06 /juin /2009 10:04

Kama, c'est le nom originel de l'Afrique.

Un vaste programme qu'est ce retour volontaire pour tous ceux dont les ancêtres ont été déracinés. Il est temps de redonner à ce vaste continent la place qu'il mérite sur notre belle planète.

Pour en savoir plus :  http://fr.raelafrica.org/news.php?extend.115

Partager cet article

Repost0
28 avril 2009 2 28 /04 /avril /2009 15:24


Adoptez un clitoris

 

faites un don pour l'hôpital du plaisir

 

www.clitoraid.org

 

Grâce à la technique développée par le Dr Foldes (France) qui permet de reformer un clitoris en utilisant la racine non mutilée, les femmes et les enfants de tous âges qui ont souffert de l'excision clitoridienne vont pouvoir retrouver leur plaisir sexuel grâce à la progression de la science; Au nom de la tradition, les femmes ont longtemps été forcées à subir cette mutilation;

 

Le programme Clitoraid "adoptez un Clitoris" a été créé en vue de recueillir des fonds pour financer l'hôpital du plaisir situé à Ouagadougou (BurkinaFaso), qui accueillera les patientes gratuitement, utilisant les services de docteurs tous bénévoles, raëliens et non raëliens, déterminés à faire cesser ces mutilations barbares en montrant qu'il est possible de réparer. Actuellement, le coût d'une opération localement est de 500 euros, une année de salaire pour une femme africaine !

 

Clitoraid est une organisation américaine à but non lucratif, émanant du mouvement Raêlien International, composée à 100% de bénévoles et basée sur les enseigenments spirituels de Raël qui prônent le respect absolu des Droits de l'homme et l'engagement à faire cesser tous ces crimes résultant des déformations des religions du passé, de façon strictement  non-violente et si possible en utilisant la science.

 

vous pouvez les aider : adoptez dés aujourd'hui un clitoris !

 

Vous pouvez faire un don sur www.clitoraid.org, via Paypal, ou envoyer un mandat international en dollars US à Clitoraid, 9435 W Tropicana, Ave // 102-141, Las Vegas, NV, 89147, USA.

 

Partager cet article

Repost0
9 avril 2009 4 09 /04 /avril /2009 17:52

 

                                    A l'attention de M. Nicolas SARKOZY
                                    Président de la République

                                    Palais de l'Elysée

                                    PARIS

 

Objet : Hamid Karzai
loi légalisant le viol des femmes
en Afghanistan

Copies :

M. Fillon, Premier Ministre
Rama Yad, Secrétaire d'Etat aux Droits de l'Homme
Amnesty International

 

Monsieur le Président,

 

Sans doute, l'avez-vous appris, tout comme moi : le Président afghan Hamid Karzai a signé une loi légalisant le viol des femmes. Selon le quotidien britannique the guardian, cette loi interdirait aux femmes de sortir de chez elles, de chercher du travail, de s'éduquer ou d'aller chez le médecin sans la permission de leur époux. Un article de la loi interdirait aux femmes de refuser de faire l'amour avec leur mari (they cannot refuse their husband sex) !" peut-on lire sur un blog publié sur le site Internet Mediapart sous le titre : "Karzaï est-il pire que les talibans ?"

Je vous demande donc, Monsieur le Président, d'agir rapidement après de M. Hamid Karzai pour qu'il renonce à cette loi. J'aimerais également savoir pourquoi vous soutenez militairement et financièrement un président qui agit contre le droit des femmes, et qui, plus est, est soupçonné de corruption ? Et je crains que ce ne soit pas la seule loi qui soit votée dans ce sens.

Allez-vous rester le complice d'un tel homme en soutenant sa présidence ? Allez-vous laisser ces femmes subir le diktat des hommes, encore et toujours ? Pouvez-vous me dire quelles sont les avancées spécifiques concernant la « libération » des femmes en Afghanistan ? Et surtout, après l'application de cette loi que je qualifie d'abominable ? Je compatis intensément avec toutes les femmes et les petites filles d'Afghanistan.

En un mot, allez-vous faire la différence et montrer votre réelle volonté d'œuvrer pour le bien-être des humains, en osant dire, ouvertement, au monde entier, votre désapprobation à ce sujet et agir pour le retrait de cette loi, ou laisser faire, sous le couvert de je ne sais quelle souveraineté nationale à respecter ?          

Par ailleurs, M. Barack OBAMA a souligné, récemment, la nécessité d'ouvrir le dialogue et ne pas se contenter seulement de la force militaire. J'approuve ses propos. De par le monde, tout montre que la violence à 100 % n'aboutit jamais à la paix : que ce soit les FARC en Colombie, ou plus près de nous, la situation entre les israëliens et les palestiniens. SEUL LE DIALOGUE peut débloquer une  situation.

Même si je sais que vous ne lirez jamais cette lettre, j'aimerais que vos services administratifs ne m'envoient pas une lettre type du genre « Mademoiselle, nous avons bien pris en compte votre courrier, bla bla, bla » mais me répondent objectivement, car j'ai envie de lire une réponse précise à mes interrogations.

Je vous remercie par avance de tout ce que vous pourrez faire à ce sujet pour faire avancer un peu plus les Droits de l'Homme (je préfère dire les Droits de l'Humain) dans le monde et particulièrement en France.

Je vous prie de recevoir, Monsieur le Président, l'assurance de ma haute considération.

 

Partager cet article

Repost0
22 janvier 2009 4 22 /01 /janvier /2009 17:35

Le 3 janvier 2009

            A l'attention de Mme CARLA BRUNI SARZOKY
           
Palais de l'Elysée
55, rue du faubourg Saint-Honoré
75008  Paris

 

Madame, Bonjour,

J'aimerais vous faire part d'une réflexion personnelle que j'ai eue il y a quelques jours, quand vous et votre mari, M. SARKOZY avez effectué un voyage au Brésil.

J'admire votre charisme, votre talent, votre beauté et surtout votre désir d'agir au niveau humanitaire. Il n'y a rien de plus beau que d'aider les autres, leur apporter l'espoir et alléger leurs souffrances au maximum. Pour moi, c'est une mission noble.

Cependant, je ne peux manquer de faire un parallèle avec la vente d'armements signée entre le Président Luiz Inácio Lula da Silva du Brésil et M. le Président de la République Française, pour plusieurs milliards d'euros.

Je serais curieuse de savoir comment vous arrivez à concilier le fait, d'une part que votre mari, au nom du dopage de l'économie française, puisse arriver à vendre de tels armements, dans le monde entier, au cours de ses visites et d'autre part votre engagement dans l'action humanitaire.

Pour moi, l'armement militaire est synonyme de mort et ne sert qu'à tuer, mutiler à vie, briser des destinées de milliers, de millions d'êtres humains, hommes, femmes et surtout enfants que, peut-être un jour, vous irez soulager de votre bon cœur, sans penser une seule seconde qu'ils aient pu être victimes d'armes « made in France ».

Imaginez un seul instant que la France décide de mettre ses compétences de défense au service de la paix, non pas en vendant à tour de bras des armements ou en agissant çà et là dans de nombreux pays sous couvert de la défense de ses compatriotes ou de lutte contre le terrorisme, mais en développant les dialogues et en essayant de trouver les vrais causes des conflits. Car la guerre ne réduit que les symptômes et les causes sont toujours là. Nous en avons la preuve tous les jours au proche-orient et ailleurs.

Imaginez que la France devienne un exemple de paix et de conciliation et devienne la première nation sur la planète TERRE à dire NON A LA GUERRE, OUI AU DIALOGUE et surtout cesse ses ventes d'armes.

C'est sûr, on peut rêver. Mais cela fait tellement de bien et avec de la bonne volonté, ces rêves peuvent devenir un jour réalité.

Je vous remercie pour votre attention et vous prie, Madame, de recevoir, mes sincères salutations. Et j'en profite pour vous souhaitez une bonne année !


                                                                         Françoise D.

                                                                         Räelienne et citoyenne de l'Infini




Partager cet article

Repost0