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  • : Le blog de Françoise
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  • : Ma nation, c'est l'infini. Aller au-delà des frontières, terrestres, planétaires, galactiques, ethniques, culturelles, génétiques, sexuelles et autres, c'est le début de la liberté et de l'amour universel. My nation is the Infinite. To go beyond terrestrial, planetary, galactical, ethnic, genetic, sexual and others frontiers. This is the beginning of freedom and universal love.
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15 novembre 2021 1 15 /11 /novembre /2021 18:39

Welcome to clit’22! 

These are monthly convos with cliterate minds — THE CLIT'22 SERIES.

Join us on ZOOM and you tube live every month on the 22nd, From June 2021 to May 2022. 

Next Session…

November 22nd, 2021 12pm Pacific

HORMONES & THE CLITORIS

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26 mai 2020 2 26 /05 /mai /2020 11:41

D'où vient la pratique de l'excision ? Quelles religions ou peuples la pratiquent ? En visionnant cette superbe conférence, vous serez étonnés des réponses !

Pour voir le replay.  https://www.youtube.com/watch?v=GUT_b0VTeW0

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16 mai 2020 6 16 /05 /mai /2020 12:24
Conférence en ligne CLITORAID  Lundi 25 mai à 20 h 30

A l'occasion de ce Mois de Sensibilisation au Clitoris, Clitoraid vous invite à une conférence en ligne sur le thème "Mon Clitoris, Mon Corps, Ma Liberté" le lundi 25 mai de 20h30 à 22h (heure de Paris, France) sur Zoom (accès gratuit). Cette conférence sera en français.

 

Parmi les intervenant-e-s invité-e-s que nous aurons l'honneur d'entendre :
- Dr Marc Rivard, médecin et biologiste
- Clémence Linard, M.A., sexologue
- Abi Sanon, coordinatrice de l’ONG Clitoraid en Afrique
- Banémanie Traore, Présidente de l'Association AVEFE au Burkina Faso
- Princess Loona Cabello, kinésithérapeute, professeure de yoga, responsable de missions humanitaires
- Lisiane Fricotté, juriste des Droits Humains, spécialiste des droits de la femme
- Larissa NGuessan, porte-parole de l'ONG Clitoraid en Europe

 

Inviter les femmes à célébrer la beauté de leur corps et transcender des années de honte et de culpabilité. Retrouver leur intégrité, l’estime de soi, pour les femmes qui ont été excisées physiquement… ou moralement, sous la pression culturelle, sociale. S'épanouir dans son corps et sa sexualité. Autant de questions qui seront abordées lors de cette conférence exceptionnelle.

 

Préparez-vous pour ce moment riche durant lequel nous alternerons :
- Différents panels d’intervenant-e-s nous permettant d'approfondir ces thèmes fondamentaux : professionnels de la santé, de la sexologie et du droit, militantes expérimentées qui partageront leurs expériences de femmes impliquées sur le terrain.
- Périodes de questions/réponses.

 

Nous espérons que vous vous réjouissez autant que nous !

Au plaisir de vous retrouver le 25 mai !

 

Pour assister à la conférence, vous pouvez vous connecter sur la salle Zoom n°979-2624-9646. Ou en cliquant sur le lien suivant : https://zoom.us/j/97926249646

 

NB: La capacité de la salle étant de 500 personnes, si elle est pleine lorsque vous vous y connecterez, vous pourrez y assister en vous rendant sur la chaîne officielle Youtube de Clitoraid sur laquelle elle sera retransmise en direct : https://www.youtube.com/clitoraid

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4 juillet 2019 4 04 /07 /juillet /2019 18:48
CLITORAID : campagne de dons pour la mission humanitaire en Afrique en 2020

Avez-vous envie d'aider de nombreuses femmes à retrouver leur Unité et leur joie de vivre ?

Une campagne de récolte de dons est ouverte pour 2020

En 2020, CLITORAID se rendra dans quelques pays africains pour y accueillir et opérer des femmes excisées et permettre à des médecins d'apprendre la chirurgie libératrice. Car il est possible, grâce à la chirurgie, de reconstituer la partie qui a été excisée.

La doctoresse Marcy BOWERS est allée au Kenya à deux reprises. En 2009 elle effectue les premières chirurgies réparatrices du clitoris aux ETATS UNIS.

Depuis sa création, en 2006, l'association CLITORAID a formé de nombreux médecins et aident beaucoup de femmes dans le monde à retrouver leur unité et leur joie de vivre.

 

Pourquoi CLITORAID ?

Pour en savoir plus, n'hésitez pas à aller sur le site www.clitoraid.org

CLITORAID vise à restaurer leur dignité aux victimes des mutilations génitales féminines (MGF) dont l'excision en leur permettant d'atteindre leur premier orgasme.

CLITORAID célèbre la liberté sexuelle et le plaisir sexuel retrouvé pour toutes les femmes dans le monde

CLITORAID promeut des campagnes mondiales contre l'excision. La dernière en date a en lieu au Kenya en juin 2019, pour la deuxième année consécutive.

CLITORAID promeut une sexualité libre et l'exploration de la masturbation. Betty DODSON, célèbre artiste américaine, éducatrice sexuelle et féministe pro sexe fait partie intégrante de la formidable équipe de CLITORAID. Souvenez-vous, elle a tenu le premier one-woman show de l'art érotique à la galerie WICKERSHAM à New York en 1968 et a créé un scandale.

CLITORAID partage plaisir, espoir, gentillesse et féminité.

ALORS ? envie de faire une bonne action ? Rendez-vous sur la page
https://fr.clitoraid.org/donate et laissez-vous guider.

Par avance toutes les femmes qui bénéficieront, grâce à vous, d'une reconstruction de leur clitoris, vous disent

M E R C I

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23 avril 2019 2 23 /04 /avril /2019 10:59
CLITORAID : Mission humanitaire au Kenya en 2019 - témoignage d'une raélienne

Témoignage d’une raélienne lors d’une mission humanitaire au Kenya pour la reconstruction du clitoris des femmes victimes de l’excision

http://fr.raelianews.org/temoignage-lors-dune-mission-humanitaire-dune-raelienne-au-kenya-pour-la-reconstruction-du-clitoris.html?fbclid=IwAR3JbLi2JillbZcJoQyZGzag1jC1GqRE8T6JlLXiLqH4Fab1tbeYtNBY

 

De retour d'une mission humanitaire au Kenya qui a permis à 64 femmes de retrouver leur dignité et leur intégrité, Princess Loona témoigne de la puissance de cette chirurgie et de la libération profonde que cela amène à ces femmes.


A la rencontre de Princess Loona, Guide raélienne et bénévole de l’ONG Clitoraid (clitoraid.org). A son retour de Nairobi (Kenya) suite à une récente mission humanitaire, au cours de laquelle des opérations de reconstruction du clitoris ont permis à 64 femmes de retrouver leur dignité et leur intégrité, Princess Loona témoigne de la puissance de cette chirurgie et, bien au-delà, de la libération profonde que cela amène à ces femmes.

 
"Je rêve de ce moment où il n y aura plus besoin de restaurer le clitoris car il n’y aura plus d'excision ni physique, ni mentale. Un monde où chacun-e sera gagnant-e, homme et femme."
 
Comment as-tu préparé cette mission ?

Il était primordial dans cette démarche de restauration du clitoris de remettre à l’honneur cette partie de l’anatomie féminine. Je souhaitais apporter à ces femmes des outils pédagogiques qui leur permettent de bien comprendre qui elles sont et comment leur corps fonctionne.

Ma formation initiale étant kinésithérapeute, je me suis mise en quête d’une maquette du bassin féminin en 3D à emmener sur place et j’ai constaté après recherches qu'aucune, incluant le clitoris n'existait . J'ai contacté une chercheuse indépendante qui a, en 2016, édité le premier clitoris à taille réelle en 3D et qui m’a confirmé que le premier modèle de bassin incluant un clitoris était en voie de réalisation en ce moment en Suisse. Il verra le jour probablement en 2019. J'ai constaté à quel point le clitoris était un grand inconnu puisque son anatomie vient de rentrer dans (uniquement) un manuel scolaire pour la première fois en 2017, en France. Nous sommes à l’âge de pierre. Non seulement il n'est pas représenté, mais il est coupé, brûlé, cousu, caché et pas seulement en Afrique mais partout sur la planète à diverses périodes et jusque dans les années 50 en Europe de l’Ouest et aux Etats-Unis où l'excision a été pratiquée pour traiter des "maladies" telles que l’hystérie, l'épilepsie, la masturbation, la mélancolie ou encore l’homosexualité.

J'ai donc trouvé un imprimeur 3D qui a pu réaliser ces clitoris roses que j’ai emmenés sur place (voir la vidéo : facebook.com/clitoraid. Je souhaitais également montrer quelques diversités de vulves car, parmi les femmes excisées, dans certains cas les lèvres petites et/ou grandes sont coupées ou cousues. J’ai donc organisé, avec l’aide de femmes de mon entourage, une soirée moulage de vulves. Cette soirée à été l’occasion de constater à quel point, malgré notre volonté de sortir du carcan de la culpabilité, il reste en chacune de nous une part de honte concernant notre sexe. Dre Betty Dodson, cette gynécologue artiste américaine, écrivaine, éducatrice sexuelle à la sexualité, féministe pro sexe, a bien ouvert la voie pour l’acceptation de la masturbation féminine dans les années 70. Dans ses ouvrages, elle présente la diversité et la beauté des vulves. Le voyage au Kenya a démarré par un voyage en 'Clitorie' pour bien cerner les tenants et aboutissants de ce qui se joue avec l’excision.
 
Quel est l’état d’esprit des femmes que tu as rencontrées et qui décident de se faire opérer ?  

Environ une centaine de femmes se sont présentées à la clinique Platinium de Nairobi. Parmi elles, 64 avaient besoin d’être opérées (voir pourquoi, ci après). Dans tous les cas, ces femmes mettent tous leurs espoirs dans cette chirurgie. La plupart viennent en secret de leur famille et même souvent de leur conjoint. Lorsque je les rencontre et leur pose la question de ce qui les motive pour cette chirurgie, les mots sont simples, elles parlent toutes de leur dignité en tant que femmes, elles veulent redevenir des 'femmes entières', elles veulent retrouver ce que la tradition leur a volé dans la violence, la peur et l'ignorance. 
L’accompagnement consiste tout d’abord à les écouter, créer un espace de confiance pour les laisser parler de ce dont elles n’ont, pour la plupart, jamais parlé auparavant. De ces échanges sortent les larmes de colère, de tristesse, parfois de rancoeur envers leur propre famille qui était censée les protéger, de déception du conjoint qui les quitte lorsqu’il se rend compte que la femme est excisée et n’aura jamais de plaisir, ni de désir pour faire l’amour, de honte de ne pas être "normale", d’incompréhension, d'état de choc par la douleur passée et souvent encore présente quotidiennement (fistule, infection, mort d'enfants à la naissance).

Dans un second temps, il va être indispensable de leur expliquer que suivant le type d’excision, elles pourront bénéficier ou pas de l’intervention. C'est alors que je leur montre les clitoris et les vulves en 3D pour leur expliquer l’anatomie, le fonctionnement  (lubrification du vagin grâce à la stimulation du clitoris, le plaisir, le désir, etc.). Expliquer également qu'il n y a pas une sexualité mais une infinité de sexualité, d érotisation, d'échanges de complicité avec son partenaire ou seule, mais que dans tous les cas il leur faudra apprendre à explorer cette partie de leur corps qui a été source jusqu'à ce jour de souffrance et que personne mieux qu’elle ne pourra savoir ce qui leur plait. Ensuite exposer ce que va être le geste chirurgical en fonction du type d’excision et les suites post opératoires.

Curieusement, le plus difficile des échanges étaient avec les femmes pour lesquelles le clitoris n’avait pas été coupé, mais uniquement leur capuchon (la peau qui se trouve au dessus du clitoris l'équivalent de la circoncision) et qui n’allaient pas avoir de bénéfices avec la chirurgie. C’est alors que le travail de réhabilitation du clitoris est primordial, leur conseiller le travail de massage de la cicatrice, l’apprentissage de la douceur et de la découverte de leur propre sexualité et désir. Pas pour être l’objet de plaisir pour l’autre, mais pour soi. Ces échanges sont aussi l’occasion de démystifier  l'orgasme. Ce que c’est et ce que ce n’est pas, sortir de l’illusion qu’il n'existe qu’une forme de plaisir (la pénétration par exemple) alors qu’en réalité le clitoris étant chez la femme l’équivalent du pénis mais à l’intérieur du corps, sa stimulation appropriée sera nécessaire pour une sexualité épanouie.

Ce que je retiendrais le plus de ces moments de partage intime avec ces femmes c’est leur espoir et le sourire qu’elles ont avant l’opération mais surtout après l’opération. Une image très forte fut celle de cette femme qui chantait des cantiques pendant que le chirurgien l’opérait, tout un symbole.
 
 
Tu as participé à des actions de sensibilisation dans les écoles de police, peux-tu nous expliquer le but de cette démarche ?  

Légalement l’excision est interdite au Kenya mais les lois ne sont pas vraiment appliquées, car les exciseuses ne sont pas des personnes mauvaises, ce sont des personnes qui pensent agir pour le bien en perpétuant cette tradition abominable avec ou sans l'accord des familles. Il existe d’ailleurs des missions de "réorientation professionnelle" des exciseuses car c’est leur gagne pain !  La répression n’est pas la solution, seule l'éducation l'est. Il faut dont éduquer les agents de police et ce, dès leur cursus scolaire pour qu’ils comprennent bien les enjeux (décès par hémorragie, infection, mort en couche, douleur aux rapports, fistule, etc.).

A Nairobi, une école de 10.000 étudiants reçoit toutes les semaines une personne, Jocelyn, qui expliquent à 200 élèves à chaque session, les tenants et aboutissants de l’excision. Elle a décidé de montrer des vidéos de réelles excisions pendant ces formations et les hommes présents appellent immédiatement leur femme en leur interdisant de mutiler leur fille. Le poids des images parlent plus que tous les mots. Le changement est en cours, les hommes ne veulent plus de femmes mutilées. Ce qui était la raison autrefois de l’excision (une femme excisée était pure et pouvait être mariée) devient la raison majeure pour laquelle les femmes perdent leur conjoint. La plupart du temps elles cachent à leur mari leur excision. Elles refusent le cunilungus pour ne pas qu’il s’en rende compte et simulent l'orgasme pour que le rapport dure le moins longtemps possible, certaines m’ont même confié qu’elles boivent avant les rapports pour avoir moins mal.
 
 
Un mot, une image, pour résumer cette action ?

Je rêve de ce moment où il n y aura plus besoin de restaurer le clitoris car il n’y aura plus d'excision ni physique, ni mentale. Un monde où chacun-e sera gagnant-e, homme et femme. Réconciliation serait ce mot.

 

 

 

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13 mars 2019 3 13 /03 /mars /2019 13:21
CLITORAID : Mission Kenya - La restauration reconstructive, un acte d'amour !

Pendant la chirurgie restaurative du clitoris à NAIROBI de ces dix jours, du 4 au 14 mars 2019, près de 70 femmes victimes de FGM (mutilations génitales) ont eu leur clitoris restauré.

Encore plus de photos et de témoignages sur la page facebook et le site CLITORAID

https://www.facebook.com/clitoraid/?epa=SEARCH_BOX

www.clitoraid.org

 

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6 mars 2019 3 06 /03 /mars /2019 20:44

FGM (female genital mutilation), is a barbaric practice that is still being performed in many African and Middle Eastern countries. It involves the partial or total removal of the external female genitalia for non-medical reasons. It is a violation of women's human rights and it can cause severe complications such as bleeding, infections, urinating problems, difficult childbirths, and even death.
FGM (mutilation féminine génitale) est une pratique barbare qui est toujours pratiquée dans de nombreux pays africains et moyen-orientaux. Cette mutilation implique l'ablation d'une partie ou la totalité des organes génitaux féminins pour des raisons non médicales. C'est une violation des Droits des femmes qui peut causer de sévères complications telles que des hémorragies, des infections, des problèmes urinaires, des difficultés à l'accouchement et même la mort.


The U.S. based humanitarian organization, Clitoraid is launching its 2nd clitoral restorative surgical mission in Nairobi, Kenya, from March 4 to the 14, 2019 to help the victims of Female Genital Mutilation (FGM) regain their dignity and sexual pleasure thanks to a technique developed by a French urologist.
L'organisation humanitaire CLITORAID, basée aux Etats Unis, a lancé sa deuxième mission de restauration du clitoris à NAIROBI, au Kenya du 4 au 14 mars 2019, afin d'aider les victimes des FGM à retrouver leur dignité et leur plaisir sexuel, grâce à une technique développée par un chercheur français.


“According to the World Health Organization (WHO), 25% of the Kenyan female population has endured the horrific tradition of genital cutting though the practice is now illegal in Kenya” explains Nadine Gary, Clitoraid Director of Operations.
"Selon l'organisation Mondiale de la santé, 25 % de la population féminine kenyane a enduré l'horrible tradition de l'ablation génitale même si la pratique est maintenant illégale au Kenya" explique Nadine GARY, la directrice des opérations pour CLITORAID.

 

The WHO estimates that 125 million women worldwide have had their genitals forcibly mutilated as babies or when they were toddlers or possibly as teenagers. This practice grossly violates the UNICEF Convention on the Right of the Child. L'organisation Mondiale de la santé estime que 125 millions de femmes à travers le monde ont eu leur partie génitale mutilée alors qu'elles étaient des bébés ou quand elles étaient des enfants, et possiblement des adolescentes. Cette pratique viole la convention des droits de l'enfant de l'UNICEF.

 

 Clitoraid volunteer head-surgeon, Dr. Marci Bowers of San Francisco, USA, will co-lead the clitoral restorative medical procedure in partnership with Kenyan Dr. Adan Abdullahi affiliated with the Kenyan NGO, Garana. “They will be assisted by local Kenyan doctors as well as MD’s from the US, Canada and Australia” says Gary.
La doctoresse Marci BOWERS de San Francisco, USA, chirurgienne en chef bénévole à CLITORAID mènera la procédure de restauration médicale en partenariat avec le Docteur Kenya Adan ABDULLAHI, affilié avec GARANA, organisation non gouvernementale.

"Ils seront assistés par les docteurs kenyans locaux ainsi que par des médecins venus des Etats Unis, du Canada et d'Australie" dit Nadine GARY

 

Close to 100 FGM survivors, including women from Tanzania, Sudan and The Gambia are scheduled for surgery during the two week, humanitarian endeavor that will take place at Dr. Abdullahi’s clinic in Nairobi” informs Gary.
Près de 100 femmes survivantes des FGM, incluant des femmes venues de Tanzanie, du Soudan et de Gambie, sont programmées pour recevoir la chirurgie restaurative durant ces deux semaines.

 ..... http://www.clitoraid.org/

Please donate: http://clitoraid.org/donate/
Youtube: https://youtu.be/1wx1cRszYBU


 

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6 mars 2019 3 06 /03 /mars /2019 20:11
CLITORAID : Mission Kenya - Interview de la doctoresse Marci BOWERS

L'aventure CLITORAID continue. Aujourd'hui 6 mars, c'est le troisième jour.

La clinique du Docteur Adan ABDULLAHI, accueillent de nombreux chirurgiens venus du monde entier qui souhaitent se former pour reconstruire le clitoris des femmes excisées.

Photo "With Kenyan Dr Adan ABDULLAHI in his clinic and other surgeons from all over the world, we will welcome 80 FGM survivors who will have their clitoral reconstructive surgery". This is happening now !

 

Pour en savoir plus sur l'association CLITORAID et toutes ses actions, allez sur la chaine YOUTUBE  :https://www.youtube.com/user/clitoraid

et sur le site : www.clitoraid.org

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6 mars 2019 3 06 /03 /mars /2019 10:05

Le clitoris ? Vous connaissez ?  Lors d'une diffusion d'information dans les rues de Montpellier (sud de la France) pour promouvoir la mission humanitaire de CLITORAID au Kenya du 4 au 14 mars 2019, j'ai eu l'occasion de rencontrer deux personnes - deux hommes - qui ignoraient l'existence du clitoris.

"Clito... quoi ? C'est proche du coeur, c'est ça ?"... "Euh ! Non, pas exactement ! Allez regarder sur internet et vous saurez tout".

Les éditions MAGNARD ont décidé de présenter enfin l'organe nommé CLITORIS dans leur manuel scolaire. Et c'est grâce à Odile FILLOD, une chercheuse indépendante que le clitoris a été modélisé en imprimante 3 D. Un grand BRAVO à elle.

Une petite info : la personne qui se trouve sur la vidéo se nomme Princesse Loona et c'est la porte parole de CLITORAID au kenya.

Lien pour l'article en français : https://mobile.francetvinfo.fr/societe/education/polemique-sur-le-genre/le-clitoris-represente-pour-la-premiere-fois-en-details-dans-un-manuel-scolaire_2192043.html#xtor=EPR-2-[newsletterquotidienne]-20170516-[lestitres-coldroite/titre7]&xtref=acc_dir

Sur Facebook, un collectif de professeurs de SVT se félicite de la décision des éditions Magnard d'avoir "pris en compte l'anatomie complète du clitoris dans son schéma d'appareil sexuel".

...

"Le clitoris a été gommé"

Pourtant, cela fait des siècles qu'un schéma complet du clitoris existe. "Le premier a vu le jour en 1848", explique Alexandre Magot, professeur et membre du collectif SVT Egalité. Lorsque le chirurgien britannique Henry Gray publie, en 1858, la première édition de son livre d'anatomie médicale, Gray's Anatomy, l'organe sexuel y figure dans son entièreté. "Un siècle plus tard, il a totalement disparu de l'ouvrage. Il a simplement été gommé", déplore Alexandre Magot. 

Ces dernières années, plusieurs initiatives ont voulu familiariser les femmes avec leur clitoris. En 2016, la chercheuse indépendante Odile Fillod a modélisé, grâce à une imprimante 3D, l'appareil à échelle réelle pour que les élèves puissent avoir une idée précise de sa taille. Sur le site de SVT Egalité, un schéma réalisé par Vincent Guili est à disposition des professeurs qui souhaitent en parler".....

 

On en parle même sur le site anglais : https://www.rt.com/news/388620-clitoris-france-school-textbooks/

Pour en savoir plus sur l'association CLITORAID et toutes ses actions, allez sur la chaine YOUTUBE  : https://www.youtube.com/user/clitoraid

et sur le site : www.clitoraid.org

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27 février 2019 3 27 /02 /février /2019 11:48
CLITORAID : témoignage à Tedx de Cynthia Simantoi Oningoi

Voici une vidéo de Tedx avec Cynthia Simantoi Oningoi, de la communauté des Masaï qui pratique les excisions.

 

https://www.youtube.com/watch?v=VeXv1Gyb5J8

 

Cynthia Simantoi Oningoi a été opéré au Kenya en 2017 par le Docteur Marci BOWERS de l'association CLITORAID.

 

Elle explique que pour les Masaï, cette mutilation génitale est une transition obligatoire pour passer de l'enfance à l'état d'adulte.

 

Un jour alors qu'elle avait 14 ans, un groupe de femmes l'excise sans son consentement. Par la suite, elle pense au suicide, tellement elle se sent mal. Mais elle se dit qu'elle doit protéger sa plus jeune soeur de cette pratique.

 

Elle fait des hautes études et décide de trouver une solution au problème de l'excision au sein de sa communauté. Elle décide également de pardonner aux femmes qui l'ont excisée car selon elle la violence, la haine et l'amertume ne peuvent pas apporter de solutions à un tel problème.

 

Maintenant elle parcoure les villages dans son pays et sensibilise les habitants aux nombreux problèmes qui résultent des mutilations génitales et appelle à leur abandon.

 

La prochaine mission humanitaire pour les femmes au Kenya aura lieu du 4 au 14 mars 2019. Un appel au dons est lancé. Une centaine de femmes et de filles attendent d'être opérées.

http://www.clitoraid.org/donate/

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