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  • : Le blog de Françoise
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  • : Ma nation, c'est l'infini. Aller au-delà des frontières, terrestres, planétaires, galactiques, ethniques, culturelles, génétiques, sexuelles et autres, c'est le début de la liberté et de l'amour universel. My nation is the Infinite. To go beyond terrestrial, planetary, galactical, ethnic, genetic, sexual and others frontiers. This is the beginning of freedom and universal love.
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5 février 2024 1 05 /02 /février /2024 11:13

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9 novembre 2023 4 09 /11 /novembre /2023 07:49
L'INFINI

L'INFINI

https://www.raelfrance.fr/linfini-2/

traduction du texte de l'image : "vous êtes aussi vieux que l'univers, car la matière ne peut pas être créée ou détruite. Dans le niveau le plus profond, vous êtes l'Univers qui s'expérimente lui-même".

« Cela signifie ressentez que vous êtes l’infini comme l’univers est infini. » Raël

Ressentir l’infini

“Eprouver un sentiment d’unité entre tout ce qui existe dans l’univers, dans l’infiniment grand et dans l’infiniment petit de la matière ainsi que dans l’infini dans le temps, c’est ressentir l’infini.

Et lorsque nous ressentons cette unité et ce lien avec tout ce qui nous entoure, nous devenons conscients, nous devenons capables de comprendre que nous sommes de petits fragments de matière qui se sont assemblés pour donner l’être vivant que nous sommes.

La matière qui nous compose devient consciente d’elle-même » (Extrait issu de l’ouvrage « Le Maitreya, extraits de son enseignement »).

La puissance de l’Infini et l’Humilité

Et dans cette vidéo (novembre 2018), Maitreya Raël parle de la puissance de l’infini  et d’humilité.

www.raelfrance.fr/rael-puissance-de-linfini/

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16 novembre 2022 3 16 /11 /novembre /2022 07:41
Une image spectaculaire de la galaxie du Fantôme démontre la puissance de James Webb (une fois encore)
Une image spectaculaire de la galaxie du Fantôme démontre la puissance de James Webb (une fois encore)
 
La galaxie M74. Image combinée optique/infrarouge moyen, présentant des données des télescopes spatiaux Hubble et James Webb. | ESA/Webb, NASA & CSA, J. Lee and the PHANGS-JWST Team
 
Le monde n’a pas fini d’être ébloui par les remarquables capacités du télescope spatial James Webb. Récemment, de nouvelles images de la galaxie du Fantôme (M74), dépourvues de l’interférence du gaz et des poussières, montrent les possibilités incroyables des observatoires spatiaux, travaillant ensemble dans plusieurs longueurs d’onde. Dans ce cas, les données du télescope spatial James Webb et du télescope spatial Hubble se complètent pour fournir un panorama complet de la galaxie, avec une vision étonnamment dégagée de l’amas d’étoiles au centre.

La galaxie du Fantôme se trouve à environ 32 millions d’années-lumière de la Terre dans la constellation des Poissons et se trouve presque face à la Terre. Ceci, associé à ses bras spiraux bien définis, en fait une cible de prédilection pour les astronomes qui étudient l’origine et la structure des spirales galactiques. Elle fut découverte par Pierre Méchain en 1780 puis observée par Charles Messier, qui l’intégra dans son catalogue quelques semaines plus tard.

M74 (ou Messier 74) fait partie d’une classe particulière de galaxie spirale connue sous le nom de « spirale de grande conception », ce qui signifie que ses bras spiraux sont proéminents et bien définis, contrairement à la structure inégale et irrégulière observée dans certaines galaxies spirales. On estime que cette structure symétrique de l’ensemble de la galaxie a sans doute été induite par le passage d’une onde de densité à l’origine de la formation d’étoiles dans les bras spiraux.

Il faut savoir que la galaxie a une faible luminosité de surface, ce qui la rend difficile à voir. Elle avait déjà été imagée par Hubble, mais obscurcie par le gaz et la poussière environnants. En effet, Hubble voit la lumière visible, le rayonnement ultraviolet et le rayonnement proche infrarouge, ce qui rend opaque gaz et poussières, comme pour l’œil humain.

Récemment, dans le cadre du programme Phangs Survey, le télescope spatial James Webb en a pris une photographie extrêmement claire et détaillée, car pouvant traverser ces interférences. L’étude PHANGS (Physics at High Angular resolution in Near Near GalaxieS) effectue des observations à haute résolution de 19 galaxies proches avec plusieurs télescopes, dont ALMA, Hubble, JWST et le VLT (Very Large Telescope). L’objectif est de comprendre le lien unissant la formation des gaz et des étoiles avec la structure et l’évolution de ces galaxies.

La vision infrarouge de Webb révèle le cœur de la galaxie

James Webb peut observer des corps célestes, tels que des étoiles, des nébuleuses et des planètes, qui sont trop froids ou trop faibles pour être observés en lumière visible, grâce à son instrument à infrarouge moyen (MIRI). C’est pourquoi il a été pointé vers M74 par les astronomes, afin d’en savoir plus sur les premières phases de la formation d’étoiles dans l’univers local.

Cette vision cristalline à des longueurs d’onde plus longues permettra aux astronomes de localiser les régions de formation d’étoiles dans les galaxies, de mesurer avec précision les masses et les âges des amas d’étoiles pour dater les différentes parties des galaxies spirales. Ceci leur permettra de mieux comprendre la nature des petits grains de poussière dérivant dans l’espace interstellaire et comment les galaxies se sont assemblées au fil du temps.

C’est ainsi que la vision nette de Webb a révélé de délicats filaments de gaz et de poussière dans les bras en spirale de M74, qui s’enroulent vers l’extérieur depuis le centre de la galaxie. Un manque de gaz dans la région centrale fournit également une vue dégagée de l’amas d’étoiles nucléaires qui y réside.
 
 
Une image combinée spectaculaire
 
Comme mentionné précédemment, Hubble a déjà photographié cette galaxie grâce à l’Advanced Camera for Surveys (ACS), qui fête d’ailleurs ses 20 ans de service cette année, avec plus de 125 000 clichées en deux décennies. Ses observations ont révélé des zones particulièrement brillantes de formation d’étoiles connues sous le nom de régions HII. Ces zones, répandues dans M74, sont d’énormes nuages ​​​​d’hydrogène gazeux qui sont rendus brillants par le rayonnement ultraviolet des jeunes étoiles chaudes incrustées en leur sein, et constituent une cible importante pour les télescopes spatiaux et terrestres.

La vision nette de Hubble aux longueurs d’onde ultraviolettes et visibles complète la sensibilité inégalée de Webb avec MIRI, tout comme les observations des radiotélescopes au sol tels que l’Atacama Large Millimeter/submillimeter Array, ALMA. Le résultat est une image d’une profondeur inégalée et complète de la galaxie M74.

Les couleurs rouges marquent la poussière enfilée dans les bras de la galaxie, les oranges plus clairs étant des zones de poussière plus chaude. Les jeunes étoiles à travers les bras et le noyau nucléaire sont sélectionnées en bleu. Les étoiles plus lourdes et plus anciennes vers le centre de la galaxie sont représentées en cyan et vert, « projetant une lueur effrayante du cœur de la galaxie du Fantôme », comme le précise le communiqué de l’ESA. Des bulles de formation d’étoiles sont également visibles en rose sur les bras. Une telle variété de caractéristiques galactiques est rare à voir sur une seule image.
 
 
En combinant les données des télescopes opérant sur tout le spectre électromagnétique, les scientifiques espèrent mieux comprendre ces objets astronomiques, que par l’utilisation d’un seul observatoire — même aussi puissant que Webb !

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12 octobre 2020 1 12 /10 /octobre /2020 09:05
Et si l’Univers tout entier était un gigantesque réseau de neurones informatique ?

Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas ... ou bien l'infiniment petit et l'infiniment grand, c'est la même chose. Les ELOHIM, humains venus d'une autre planète pour créer toutes formes de vie sur la TERRE grâce à l'ingénierie génétique, nous le dit depuis longtemps. Pour en savoir plus, renseignez-vous sur le site www.rael.org.

 

Et si l’Univers tout entier était un gigantesque réseau de neurones informatique ?

 
 
Fleur Brosseau    physique      10 septembre 2020

 

 

C’est ce que suggère le physicien et cosmologiste Vitaly Vanchurin, de l’Université du Minnesota à Duluth, dans une prépublication déposée sur arXiv. L’idée paraît complètement dingue, pour autant, peut-on catégoriquement la rejeter ? Vanchurin estime que l’hypothèse du réseau neuronal pourrait constituer le chaînon manquant, tant recherché, permettant de concilier mécanique quantique et relativité générale.

 
En mécanique quantique, le temps est universel et absolu, tandis que la relativité générale soutient que le temps est relatif, lié au tissu de l’espace-temps. Or, selon Vanchurin, la dynamique d’apprentissage d’un réseau de neurones peut présenter « des comportements approximatifs » décrits à la fois par la mécanique quantique et la relativité générale.
 
Une nouvelle définition de la réalité

Ainsi, dans son article, le physicien explore la possibilité que l’univers entier, à son niveau le plus fondamental, soit un réseau neuronal informatique. Il souligne que les équations de la mécanique quantique décrivent assez bien le comportement d’un réseau neuronal composé d’un très grand nombre de neurones, tant près de l’équilibre que lorsqu’il s’en éloigne. Or, ces mêmes lois de mécanique quantique décrivent le fonctionnement de tous les phénomènes physiques.

Par ailleurs, il est admis que la mécanique quantique fonctionne plutôt bien à petite échelle et que la relativité générale fonctionne bien à grande échelle, mais jusqu’à présent, nous n’avons pas été en mesure de réconcilier les deux théories dans un cadre unifié. C’est ce qu’on appelle « le problème de la gravité quantique ». De toute évidence, il manque quelque chose, notamment la prise en compte des observateurs du phénomène considéré ; c’est ce que l’on désigne par « le problème de la mesure quantique ».

Partant de ce constat, Vanchurin estime qu’il y a non pas deux, mais trois théories à unifier : la mécanique quantique, la relativité générale et les observateurs. Or, la quasi-totalité des physiciens estiment que la mécanique quantique est le paradigme principal, dont tout le reste doit théoriquement découler (même si personne ne sait exactement comment établir le lien). Aujourd’hui, Vanchurin avance une autre possibilité : l’existence d’un réseau neuronal microscopique en tant que structure fondamentale, dont tout le reste — la mécanique quantique, la relativité générale et les observateurs macroscopiques — émerge.

Comment le physicien en est-il venu à cette hypothèse ? Dans une précédente publication, il s’est tout d’abord intéressé au fonctionnement de l’apprentissage profond, en appliquant les méthodes de la mécanique statistique au comportement des réseaux neuronaux. Or, il s’est avéré que dans certaines limites, la dynamique d’apprentissage des réseaux de neurones est très similaire à la dynamique quantique observée en physique. De là a émergé l’idée que le monde physique n’était peut-être qu’un immense réseau neuronal.

Une sélection naturelle de structures neuronales

Pour établir sa théorie, Vanchurin s’est notamment appuyé sur la théorie d’Everett (ou théorie des mondes multiples) et sur l’interprétation de Bohm (dite théorie quantique à « variables cachées », soit des paramètres physiques hypothétiques qui ne seraient pas pris en compte par les postulats de la mécanique quantique).

Dans son postulat, il a considéré que les variables cachées étaient les états des neurones individuels et les variables entraînables (telles que le vecteur de biais et la matrice de poids) étaient des variables quantiques. Cependant, les variables cachées peuvent être ici non locales (ce qui va à l’encontre des inégalités de Bell) : chaque neurone peut être connecté à tous les autres neurones, le système n’a donc pas besoin d’être local.

 

Une idée folle ? À ce jour, aucune des « théories du tout » qui ont déjà été proposées pour décrire l’ensemble des quatre interactions fondamentales — gravitation, électromagnétisme, interactions faible et forte — n’est recevable : aucune n’a permis de décrire l’interaction gravitationnelle en cohérence avec le cadre théorique issu de la physique des particules, qui est utilisé pour décrire les trois autres interactions.

Mais Vanchurin souligne que contrairement aux autres théories du tout, la sienne est plus difficile à démentir : en effet, il faudrait trouver un phénomène physique qui ne peut pas être modélisé avec un réseau de neurones. Une tâche difficile, selon lui, car nous en savons trop peu sur le comportement des réseaux neuronaux et sur le fonctionnement réel de l’apprentissage automatique.

Le physicien ajoute par ailleurs que sa théorie peut même expliquer le mécanisme de sélection naturelle. En effet, il existerait des structures (ou sous-réseaux) du réseau neuronal microscopique plus stables que d’autres. Ces structures survivraient à l’évolution, tandis que les moins stables seraient éliminées, et ce, peu importe l’échelle considérée. Tout ce que nous voyons autour de nous (les particules, les atomes, les cellules, les observateurs, etc.) serait le résultat de la sélection naturelle.

La plupart des physiciens et des experts en apprentissage automatique demeurent sceptiques face aux conclusions de leur confrère. Vanchurin lui-même avoue qu’il n’a sans doute pas encore saisi toute la complexité des réseaux neuronaux, et qu’il n’a « même pas eu le temps de réfléchir à ce que pourraient être les implications philosophiques des résultats ». Quant à savoir si nous vivons tous dans une sorte de simulation « à la Matrix », le physicien répond : « Non, nous vivons dans un réseau de neurones, mais nous ne verrons peut-être jamais la différence ».

Source : arXiv, Vitaly Vanchurin
 

 

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30 mai 2020 6 30 /05 /mai /2020 10:33
L'infini suffit par Pierre Gary

https://www.facebook.com/pierre.garyR

L'infini suffit.
 

La sensation la plus libératrice dans toute l'histoire de l'humanité, est de ressentir le lien que nous avons avec l'univers infini dans lequel nous vivons. Le lien qui nous relie à notre entourage, à la Terre, à l'espace et au temps, conditionne nos pensées, nos réflexions, notre vision de nous-même, et surtout, conditionne les valeurs motivant notre façon d'agir, de nous comporter avec les autres et dans la société.


Ce sont des personnages exceptionnels qui ont osé se détacher des dogmes et des paradigmes à chaque époque de l’humanité, et ainsi libérer l'esprit humain de ses croyances. Grâce à sa capacité d’appréhender la réalité des choses, sa conscience, sa sensibilité, Galilée a pu démontrer ce que lui seul pressentait : que la Terre tourne autour du soleil. Il a remis en cause la pensée dominante, la vision de la religion de l'époque. Après l’abandon de la théorie de la terre plate, la Terre n’est plus le centre du système solaire, et l’homme n’est plus le centre de l’univers. Ce fut un grand bond en avant, une grande libération dans la philosophie, dans la conception de la vie et de la pensée de l'époque. Les esprits ont pu s’ouvrir vers plus de lumière.


De la même façon, ressentir l'infini dans l'espace et le temps ouvre les esprits d'une façon grandiose.


L'infini se ressent seulement si l'on considère que la vie, qui fait partie intégrante de cet univers, a toujours existé et existera toujours. La vie est une chaîne infinie, nous avons été créés par la vie et nous créerons la vie. Nous avons été créés par une autre humanité, que la bible appelle les Elohim, nous créerons à notre tour d’autres humanités et ceci à l’infini. Cette ouverture sur l’infini du temps et de l’espace est encore plus puissante et plus libératrice que la découverte de Galilée. Qui en a conscience ?


Nos croyances nous enferment dans des boîtes à l'intérieur desquelles nous gesticulons pour essayer d'en expliquer les contours, mais surtout ces limites cachent, modifient, coupent les liens que nous avons avec notre entourage, avec le tout. Beaucoup de nos croyances nous éloignent de la vérité.


- Être en lien avec l'infini nous rend responsable, plus de dieu tout puissant pour abandonner notre responsabilité, plus de fausses religions pour dicter notre conduite.

- Être en lien avec l'infini génère l'amour, le respect et l'attention à la vie, car nous sommes seulement un chainon d’une grande lignée de vie.
- Être en lien avec l'infini génère l'humilité, les atomes qui nous composent sont des poussières d'étoiles qui ont toujours existé et existeront toujours sous forme de matière ou d’énergie.

- Être en lien avec l'infini génère la gratitude : nous sommes reconnaissants envers ceux qui nous ont donné cette clé, envers ceux qui nous ont créés, donné la vie, ainsi qu’envers leur Messager. 
- Être en lien avec l'infini génère la lumière intérieure, car nous sommes infinis nous-mêmes, chacune de nos cellules est un univers infini.


De tout temps il y a eu des pionniers, dans toute l'histoire de l'humanité, des hommes et des femmes ont vu et ressenti ce qui est, avant les autres. Les pionniers des temps modernes sont ceux qui ouvrent leur esprit sur l'infini et aident les autres à le faire, ce sont les premières fleurs de la nouvelle humanité, de l'humanité civilisée libre, responsable, s'inscrivant dans la grande chaine infinie de la vie.


Devenir responsable de la plus infime partie de chaque geste et comportement, est tout simplement magnifique. Ouvrons notre esprit sur l’infini. Si c’était juste ça être humain ?


L’infini c'est tout !

 

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26 février 2019 2 26 /02 /février /2019 17:48
Couchers de soleil

Toujours un spectacle merveilleux.... et éphémère !

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22 février 2018 4 22 /02 /février /2018 09:52
Sommes-nous seuls dans l'univers ? Découverte de plus de 2000 planètes en dehors de la Galaxie !

Et ce n'est pas fini ! très régulièrement et bientôt tous les jours, nous allons découvrir de nombreuses galaxies et planètes potentiellement habitables ou... déjà habitées. Cela deviendra totalement banal ! Plus les technologies spatiales progressent plus notre état d'esprit s'élargit jusqu'à comprendre un jour que l'univers est INFINI ! 

 

C’est une première : une équipe d’astrophysiciens a annoncé la détection de plusieurs centaines de planètes dans une autre galaxie, hors de la Voie lactée donc. Certaines seraient aussi petites que la Lune et d’autres aussi grandes que Jupiter.

La découverte de la première planète en dehors de notre système était déjà exceptionnelle. Mais depuis, l’astrophysique planétaire a fait du chemin. Au 1er février 2018, 3 728 planètes étaient confirmées dans 2 794 systèmes, dont 622 systèmes ayant plus d’une planète. Aujourd’hui, un nouveau pas vient d’être franchi : une équipe d’astrophysiciens de l’Université d’Oklahoma (États-Unis) annonce en effet la découverte des premières planètes au-delà de notre Galaxie.

 

Pour les besoins de leur étude, les chercheurs se sont appuyés sur la technique de microlentille gravitationnelle, qui repose sur la force gravitationnelle des objets distants pour focaliser la lumière provenant d’une étoile. Lorsqu’une planète passe devant l’étoile par rapport à l’observateur, la lumière baisse de façon mesurable, ce qui peut ensuite permettre aux astronomes de déterminer la présence d’une planète. À cet égard, la méthode est une version réduite de la lentille gravitationnelle, où un objet intervenant – comme un amas de galaxies – est utilisé pour focaliser la lumière provenant d’une galaxie ou d’un autre grand objet situé en arrière-plan.

Jusqu’à présent, 53 exoplanètes dans la Voie lactée ont été détectées en utilisant cette méthode. Pour dénicher des planètes au-delà de notre Galaxie cependant, quelque chose d’un peu plus puissant qu’une simple étoile était nécessaire. Les astronomes ont ici étudié un quasar posté à 6 milliards d’années-lumière de la Terre baptisé RX J1131-1231. Plus précisément, l’équipe s’est appuyée sur les propriétés de microlentilles du trou noir supermassif situé au centre de RX J1131-1231.

Le champ gravitationnel d’une galaxie à 3,8 milliards d’années-lumière entre la Terre et le quasar aura alors courbé la lumière de telle sorte qu’elle a créé quatre images du quasar. En utilisant les données de l’observatoire à rayons X Chandra de la NASA, les chercheurs ont alors décelé des oscillations dans la lumière du quasar qui ne pouvaient être expliquées que par la présence de planètes dans cette galaxie. Les astronomes expliquent avoir au total décelé la présence de 2000 planètes non liées, certaines de taille identique à la Lune et d’autres aussi massives que Jupiter. Celles-ci ne semblent pas orbiter autour d’une étoile dans un système solaire conventionnel, mais paraissent plutôt errer librement dans la galaxie lointaine.

« Nous sommes très excités par cette découverte. C’est la première fois que quelqu’un découvre des planètes en dehors de notre galaxie », s’enthousiasme l’astronome Xinyu Dai, principal auteur de cette étude. « Ces petites planètes sont les meilleures candidates pour les signatures observées en utilisant la technique de microlentille. Nous avons analysé la haute fréquence de ces signatures en modélisant les données pour déterminer ensuite la masse de ces planètes ».

Bien sûr, nous n’avons pas vu ces planètes directement, et soyons clairs, nous ne pourrons jamais le faire. Mais être capable de les détecter reflète l’incroyable puissance de la microlentille, sans parler de la preuve – même si l’on s’en doutait – qu’il existe bel et bien des planètes dans d’autres galaxies. Cette découverte va sans nul doute porter l’étude des planètes au-delà de notre système solaire à un tout autre niveau.

Vous retrouverez tous les détails de cette étude dans The Astrophysical Journal.

Source

http://www.sciencealert.com/planets-found-in-another-galaxy-quasar-gravitational-microlensing

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28 juin 2017 3 28 /06 /juin /2017 13:17
ASTRONOMIE : Découverte de dix nouvelles exoplanètes potentiellement habitables
Et ce n’est pas fini, on va en découvrir encore plus. Quand on sait que dans notre galaxie il existe environ 200 milliards de systèmes solaires et que 10 % de ces systèmes ont des planètes potentiellement habitables !!! Et qu’il existe d’autres galaxies !!!! Qui a dit que nous étions les seuls dans l’univers ??? Les Extraterrestres existent-ils ? Sont-ils déjà venus sur Terre ? www.rael.org
 

Le télescope spatial Kepler de la Nasa a découvert dix nouvelles exoplanètes, d'une taille proche de celle de la Terre, situées dans la zone habitable de leurs étoiles, à une distance où l'eau pourrait exister à l'état liquide et permettre la vie.

http://www.midilibre.fr/2017/06/19/decouverte-de-dix-nouvelles-exoplanetes-potentiellement-habitables,1524335.php

Ces nouvelles découvertes dévoilées ce lundi 19 juin font suite à plusieurs annonces similaires récentes et laissent penser que des planètes jumelles de la Terre pourraient ne pas être si rares dans notre galaxie, la Voie Lactée. "Ce qui est excitant à propos de ces découvertes aujourd'hui, est d'avoir pu compter le nombre de planètes similaires à la Terre dans cette partie du ciel", a expliqué lors d'une conférence de presse Susan Thompson, une des scientifiques de l'équipe Kepler et de l'Institut SETI dédié à la recherche d'une intelligence extra-terrestre.

 

 

"Et avec ces données nous allons pouvoir déterminer la fréquence de ces planètes et s'il est possible de trouver d'autres endroits dans la galaxie où il serait possible de vivre", a-t-elle ajouté, lors d'un point de presse en marge de la conférence "K2 science" qui se tient cette semaine au centre de recherche Ames de la Nasa en Californie. "Ce catalogue minutieux établi avec Kepler est le fondement scientifique qui permettra de répondre directement à l'une des questions les plus brûlantes en astronomie consistant à déterminer le nombre de planètes soeurs de la Terre dans la Voie Lactée", a souligné la scientifique.

 

 

Ces planètes font partie de 219 nouvelles exoplanètes découvertes par Kepler. Au total, depuis le début de sa mission, 4 034 exoplanètes ont été détectées par Kepler dont 2 335 ont été confirmées par d'autres télescopes. Une cinquantaine de ces planètes, situées hors de notre système solaire, sont d'une taille approchant celle de la Terre et en orbite dans une zone habitable.

Plus de 150 000 étoiles scrutées

Sur cette cinquantaine de planètes potentiellement soeurs de la Terre plus d'une trentaine ont été confirmées par d'autres observations. En février des astronomes avaient annoncé la découverte avec un autre télescope spatial américain, Spitzer, de sept planètes rocheuses d'une taille comparable à la Terre en orbite autour d'une seule étoile Trappist-1, une première. Trois de ces planètes se situent dans la zone habitable de leur étoile. Avec ces dernières découvertes de Kepler, la Nasa publie la dernière version la plus complète et la plus détaillée du catalogue des exoplanètes dénichées à partir des données recueillies pendant quatre ans d'observations de ce télescope.

Kepler a été lancé en 2009 mais sa mission initiale s'est achevée en 2013 en raison d'une panne de ses gyroscopes.
Le télescope a scruté 150 000 étoiles dans la constellation du Cygne et a été de loin le plus fructueux. Il détecte des planètes quand elles passent devant leur étoile dont elles estompent momentanément la lumière. Cela permet entre autres d'en déduire leur taille, leur masse et leur orbite. Un des groupes de recherche a pu grâce aux données fournies par Kepler, effectuer des mesures précises de milliers de planètes......

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19 juin 2014 4 19 /06 /juin /2014 10:16
Ma religion c'est l'infini

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14 septembre 2013 6 14 /09 /septembre /2013 07:23

Un voyage dans l'espace

Quand je médite sur l'infiniment grand et petit, lors de la méditation sensuelle, je m'imagine voyager dans de tels paysages.

http://www.youtube.com/watch?v=Un5SEJ8MyPc

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