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  • : Le blog de Françoise
  • Le blog de Françoise
  • : Ma nation, c'est l'infini. Aller au-delà des frontières, terrestres, planétaires, galactiques, ethniques, culturelles, génétiques, sexuelles et autres, c'est le début de la liberté et de l'amour universel. My nation is the Infinite. To go beyond terrestrial, planetary, galactical, ethnic, genetic, sexual and others frontiers. This is the beginning of freedom and universal love.
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6 juillet 2010 2 06 /07 /juillet /2010 16:25

 

http://www.npa2009.org/content/l%E2%80%99eau-un-bien-commun-reconquerir  


  L’eau, bien vital, est une ressource qui se raréfie partout sur la planète. Le manque d’eau ou l’eau non potable sont responsables de la mort de 1, 6 million de personnes à travers le monde chaque année selon l’OMS. L’eau est devenue l’or bleu et la communauté scientifique envisage la possibilité que des guerres pour le contrôler éclatent au cours du xxie siècle, comme c’est le cas pour le pétrole aujourd’hui....


lire la suite sur http://www.npa2009.org/content/l%E2%80%99eau-un-bien-commun-reconquerir  

 

* Une agriculture productiviste qui pille et pollue...   

 

* Des mégapoles assoiffées ...  

 

* La privatisation d’un bien vital...   

 

* Un impôt masqué


En 1982, les lois de décentralisation supprimaient la tutelle des préfets sur les élus locaux. Ces derniers pouvaient ainsi signer seuls des contrats jusqu’alors encadrés par les services de l’État. Les enveloppes et les « droits d’entrée » étaient l’arme supplémentaire des entreprises. Le droit d’entrée était une somme (de dix à cent millions de francs) versée à la signature du contrat avec l’entreprise privée. Il était versé au budget général de la ville et pouvait s’accompagner de la construction d’un stade ou autre équipement, sans compter les avantages de tarifs pour les services municipaux, élus et entreprises.


En 1995, la loi Barnier prohibait ces droits d’entrée qui se transformaient aussitôt en « redevances d’occupation du domaine public capitalisé ». Toujours en vigueur aujourd’hui, cette loi ne changea donc rien au système d’attribution des contrats. Certaines collectivités, pour doper leur budget, augmentent les tarifs fixés avec le délégataire privé aux dépens des consommateurs. Ainsi les élus affichent une bonne gestion, une faible augmentation des impôts, un budget équilibré... Des dizaines de millions d’euros peuvent alors alimenter le budget municipal annuel sur le dos des habitants par un impôt qui n’a pas de nom. Le contrat entre la ville de Toulouse et la Compagnie générale des eaux (Véolia) était un excellent exemple de ces pratiques. À la signature du contrat, au début des années 1990, la ville obtient un droit d’entrée de 437, 5 millions de francs, qui vont directement dans ses caisses. Cette somme est remboursée sur la facture d’eau par les usagers avec un taux d’intérêt proche du taux d’usure, ce qui aurait représenté une somme remboursée de 1, 45 milliard de francs.


D’autres pratiques douteuses sont très nombreuses, telles les « captives » d’assurance, filiales offshore distribuant des primes d’argent blanchi, le détournement des « provisions pour renouvellement » alimentées par la facture de l’abonné (elles sont censées financer les travaux). Une partie est utilisée, l’autre placée. À la fin du contrat, de grands travaux sont entamés pour justifier ces fonds. Toutes ces pratiques ont un prix, sur la facture de l’usager bien entendu ! Selon l’Institut français de l’environnement, face aux régies municipales, la gestion privée représente en moyenne un surcoût de 27 % pour la distribution de l’eau et de 20 % pour l’assainissement.

* Une lutte offensive...

 


Le NPA doit donc participer à toutes ces initiatives qui, petit à petit, arrivent à inverser la tendance et nous permettent de reconquérir des biens communs, des services publics qui ne l’étaient plus depuis de longues années. Ce sont ces mêmes multinationales dont la voracité s’attaque à présent aux transports et à l’électricité, appliquant les mêmes formules que celles qui leur permettent de vendre de l’eau. Sachons leur appliquer les mêmes réponses, pour reconquérir partout nos biens communs.

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6 juillet 2010 2 06 /07 /juillet /2010 16:13



http://www.radio-canada.ca/nouvelles/science/2010/07/01/001-longevite-embargo-jeudi-14h.shtml

Il est connu que des facteurs environnementaux, comme les choix de vie, et
d'autres d'ordre génétique jouent un rôle dans la longévité humaine
exceptionnelle.


Une percée importante vient d'être réalisée par des généticiens américains
dans notre compréhension du rôle des gènes dans la longévité.
Pour la première fois, une équipe de l'Université de Boston a identifié un
groupe de variations génétiques qui peuvent prédire une longévité humaine
exceptionnelle avec une précision de 77 %.


À partir de l'hypothèse selon laquelle les personnes âgées
exceptionnellement vieilles sont porteuses de multiples variations
génétiques qui influent sur leur survie, la chercheuse Paola Sebastiani et
ses collègues ont comparé le génome de plus de 1000 centenaires.
Ces personnes représentent le modèle d'un sain vieillissement.
Habituellement, les problèmes importants de santé n'apparaissent cehz elles
qu'après 95 ans.


Les chercheurs ont construit un modèle génétique unique incluant l'analyse
de 150 variations génétiques pour se rendre compte que ces mutations
pouvaient être utilisées pour prédire si une personne vivra très vieille
avec un taux de précision très élevé.


En outre, l'équipe a identifié 19 signatures génétiques associées à une
longévité exceptionnelle et qui caractérisent pas moins de 90 % des
centenaires étudiés.


Ces signatures particulières mises en relation avec la prévalence de
certaines maladies liées à l'âge, comme la maladie d'Alzheimer et
l'hypertension, permettront éventuellement de mieux comprendre comment
s'expriment les gènes et pourquoi certaines personnes à la longévité
exceptionnelle vivent sans développer certaines maladies pourtant inscrites
dans leurs gênes.


Ces travaux ont aussi permis de constater que 45 % des plus vieux
centenaires, ceux qui avaient plus de 110 ans, possédait une signature
génétique associée à la plus grande proportion de variations associées à la
longévité.


Le détail de ces travaux est publié dans le magazine Science.
L'espérance de vie dans les pays développés oscille entre 80 et 85 ans.
Le Canada compte actuellement plus de 5000 centenaires et leur nombre
devrait augmenter dans les prochaines décennies. Seulement 20 % des
centenaires sont des hommes.

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4 juillet 2010 7 04 /07 /juillet /2010 19:51

 

Et vous, de quel antitdépresseur faites-vous dépendre votre humeur ?

 

 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/07/02/97001-20100702FILWWW00369-massacre-la-piste-des-antidepresseurs.php   lefigaro.fr
02/07/2010 |

 

Un antidépresseur pourrait être à l’origine du coup de folie du médecin qui a tué, le 31 mai, à Pouzauges, en Vendée, ses quatre enfants puis sa femme avant de se donner la mort. Une source proche de l’enquête a indiqué au Parisien que «les analyses toxicologiques effectuées sur le docteur Bécaud ont révélé qu’il prenait de la sertraline, un antidépresseur. Nous n’avons pas trouvé trace d’autres produits dans son organisme. On soupçonne ce médicament d’avoir été l’étincelle qui a mis le feu aux poudres et a déclenché le massacre».

Une piste d’autant plus crédible que «rien dans le parcours du médecin de campagne ne permet de comprendre le déclenchement d’un tel accès de violence», précise le journal.

Ces soupçons reposent sur des précédents significatifs à l’étranger : en Angleterre et aux Etats-Unis, les tribunaux se sont penchés à plusieurs reprises sur des cas de «folie meurtrière» de patients sous antidépresseurs.

Xavier Pavageau, le procureur de la République de La Roche-sur-Yon fera ce matin (le 2 juillet 2010) une conférence de presse sur ce sujet.

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2 juillet 2010 5 02 /07 /juillet /2010 22:27

 

http://www.legrandsoir.info/La-religion-du-marche.html


Presque tous les dirigeants politiques, qu’ils soient de la gauche traditionnelle ou de la droite, qu’ils soient du Sud ou du Nord, vouent un véritable culte au marché, aux marchés financiers en particulier. Il faudrait plutôt dire qu’ils fabriquent une religion du marché. Chaque jour, une messe est dite pour honorer le dieu Marché dans chaque foyer muni d’une télévision ou d’une connexion internet, au moment où l’on rend compte de l’évolution des cotations en Bourse et des attentes des marchés financiers. Le dieu Marché envoie des signaux par la voix du journaliste économique ou du chroniqueur financier. Ce n’est pas seulement vrai pour tous les pays les plus industrialisés, c’est vrai aujourd’hui pour la majeure partie de la planète. Que l’on soit à Shanghai ou à Dakar, à Rio de Janeiro ou à Tombouctou, on recevra les “signaux envoyés par les marchés”.

Par exemple, en Europe, tout un chacun saura le matin comment a évolué le Nikkei à la Bourse de Tokyo alors que quasiment personne n’est concerné : les rares personnes à l’être sont tenus au courant par d’autres biais que la radio d’information en continu… Partout, les gouvernants ont procédé à des privatisations, on a créé l’illusion que la population pouvait participer directement aux rites du marché (en achetant des actions) et recevoir un bénéfice en retour dans la mesure où l’on a bien interprété les signaux envoyés par le dieu Marché. En réalité, la petite partie de ceux d’en bas qui ont fait l’acquisition d’actions n’ont aucun poids sur les tendances du marché.

 

Dans quelques siècles, peut-être lira-t-on dans les livres d’Histoire que, à partir des années 1980, un culte fétichiste a fait fureur. La montée en puissance du culte en question sera peut-être mise en relation avec deux noms de chefs d’Etat : Ronald Reagan et Margaret Thatcher. On notera que ce culte a bénéficié dès le début d’une aide des pouvoirs publics (qui se sont inclinés volontairement devant ce dieu qui les privait d’une grande partie de leur pouvoir d’antan) et des puissances financières privées. En effet, pour que ce culte rencontre un certain écho dans les populations, il a fallu que les grands médias lui rendent hommage quotidiennement.

 

Les dieux de cette religion sont les Marchés financiers. Des temples leur sont dédiés qui ont pour nom Bourses. Seuls les grands prêtres et leurs acolytes y sont conviés. Le peuple des croyants est invité à communier avec les dieux Marchés par l’intermédiaire du petit écran de TV ou d’ordinateur, du journal quotidien, de la radio ou du guichet de la banque.

 

Jusqu’aux coins les plus reculés de la planète, des centaines de millions d’êtres humains, à qui on nie le droit de satisfaire leurs besoins élémentaires, sont conviés à célébrer les dieux Marchés. Au Nord, dans les journaux lus en majorité par les salariés, les ménagères, les chômeurs, une rubrique du type “où placer votre argent ?” est quotidiennement imprimée alors que l’écrasante majorité des lecteurs et lectrices n’a pas les moyens – ni parfois la volonté – de détenir la moindre action en Bourse. Des journalistes sont payés pour aider les croyants à comprendre les signaux envoyés par les dieux.

 

Pour amplifier, dans l’esprit des croyants, la puissance des dieux Marchés, des commentateurs annoncent périodiquement que ceux-ci ont envoyé des signaux aux gouvernements pour indiquer leur satisfaction ou leur mécontentement. Le gouvernement et le parlement grecs ont enfin compris le message envoyé et ont adopté un plan d’austérité de choc qui fait payer ceux d’en bas. Mais les dieux sont mécontents du comportement de l’Espagne, du Portugal, de l’Irlande et de l’Italie. Leurs gouvernements devront aussi apporter en offrande de fortes mesures antisociales.

 

Les endroits où les dieux sont susceptibles de manifester leurs humeurs avec le plus de poids sont Wall Street à New York, la City à Londres, les Bourses de Paris, de Francfort ou de Tokyo. Pour mesurer leur contentement, on a inventé des instruments qui ont nom Dow Jones à New York, Nikkei à Tokyo, le CAC40 en France, le Footsie à Londres, le Dax à Francfort. Pour s’assurer la bienveillance des dieux, les gouvernements sacrifient les systèmes de sécurité sociale sur l’autel de la Bourse. Ils privatisent, aussi.

 

Pourquoi a-t-on donné des atours religieux à de simples opérateurs ? Ils ne sont ni des inconnus, ni de purs esprits. Ils ont un nom, une adresse : ce sont les principaux dirigeants des deux cents grandes transnationales qui dominent l’économie mondiale avec l’aide du G7, la complaisance du G20 et des institutions telles que le FMI, revenu grâce à la crise sur le devant de la scène après une période de purgatoire. Il y a aussi la Banque mondiale et l’Organisation mondiale du commerce (celle-ci est assez mal en point, mais elle sera peut-être aussi à nouveau élue par les dieux). Les gouvernements ne font pas exception : ils ont abandonné les moyens de contrôle qu’ils détenaient sur ces marchés financiers. Les investisseurs institutionnels (les « zinzins » : grandes banques, fonds de pensions, assurances, hedge funds…) qui les dominent ont reçu des gouvernements des milliers de milliards de dollars sous forme de dons ou de prêts qui servent à les remettre en selle après la débâcle de 2007-2008. La Banque centrale européenne, la Réserve fédérale des Etats-Unis, la Banque d’Angleterre leur prêtent chaque jour, à un taux inférieur à l’inflation, des mannes de capitaux que les « zinzins » s’empressent d’utiliser de manière spéculative contre l’euro, contre les trésoreries des Etats, sur le marché des matières premières…

 

Aujourd’hui, l’argent peut circuler d’un pays à l’autre sans le moindre prélèvement d’impôt. Trois mille milliards de dollars circulent chaque jour dans le monde par-dessus les frontières. Moins de 2% de cette somme servent directement au commerce mondial ou aux investissements productifs. Plus de 98% servent à des opérations spéculatives principalement sur les monnaies, sur les titres de la dette, sur les matières premières.

 

Il faut mettre fin à cette banalisation d’une logique de mort. Il faut créer une nouvelle discipline financière, exproprier le secteur financier et le mettre sous contrôle social, taxer fortement les « zinzins » qui ont provoqué puis profité de la crise, auditer et annuler les dettes publiques, mettre en œuvre une réforme fiscale redistributive, réduire radicalement le temps de travail afin d’embaucher massivement tout en garantissant le montant des salaires… Face à cette religion du Marché, commencer à mettre en oeuvre un programme fondamentalement laïc. Anticapitaliste, en somme…

 

Eric Toussaint
docteur en sciences politiques, préside le CADTM Belgique (Comité pour l’annulation de la dette du tiers-monde, www.cadtm.org) ; auteur de Un coup d’œil dans le rétroviseur. L’idéologie néolibérale des origines jusqu’à aujourd’hui, Le Cerisier, Mons, 2010 ; coauteur avec Damien Millet de La Crise. Quelles Crises ?, Aden-CADTM-Cetim, Bruxelles-Liège-Genève, 2010.

Comite pour l’annulation de la dette du Tiers Monde (CADTM) Site Web : http://www.cadtm.org

URL de cet article
http://www.legrandsoir.info/La-religion-du-marche.html

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1 juillet 2010 4 01 /07 /juillet /2010 15:39

 

"Saviez-vous que les arbres parlent ? Ils le font pourtant ! Ils se parlent entre eux et ils vous parleront si vous écoutez. L'ennui avec les Blancs, c'est qu'ils n'écoutent pas ! Ils n'ont jamais écouté les Indiens, aussi je suppose qu'ils n'écouteront pas les autres voix de la nature... Pourtant, les arbres m'ont beaucoup appris : tantôt sur le temps, tantôt sur les animaux, tantôt sur le Grand Esprit" (Taganta Mani, indien Stoney)

 

Les peuples Amérindiens considèrent que le Grand Esprit est présent dans tout ce qui est : la terre, l'eau, les pierres, les plantes, les arbres, les animaux, les hommes, les montagnes, les forêts, les rivières... Et toute la création est pour eux l'expression de la Vie, qui est unité. Leur comportement envers la création est donc empli de respect, honorant et respectant l'Esprit divin en chaque être, en chaque chose, et dans la Vie sous toutes ses formes...

 

De leur côté, les occidentaux ont développé une approche très matérialiste de la vie et des êtres, considérant que seul l'homme avait une âme (et encore, pas toujours... ), et allant même jusqu'à dénier aux animaux le fait d'avoir une conscience, notamment sous l'influence désastreuse de Descartes et de sa théorie de "l'animal-machine" (qui réduit l'animal à un automate sans âme, qui serait dénué de la moindre sensibilité ou émotion, et totalement insensible à la douleur... ce qui a permit les pires atrocités, qui perdurent encore aujourd'hui dans notre manière de traiter les animaux).

 

Mais après en avoir longtemps douté, la communauté scientifique commence enfin à reconnaître le fait que l'animal n'est pas une machine, ni un automate, mais qu'il a une conscience, qu'il ressent des émotions, des besoins et des désirs, et qu'il est sensible à la souffrance... (Ce qui devrait d'ailleurs, en toute logique, remettre en cause la manière dont l'être humain traite l'animal... mais la conscience humaine met malheureusement bien du temps à se réveiller !!)

 

Alors aller encore plus loin et envisager la possibilité d'une éventuelle conscience chez les plantes... !!! C'est un sujet encore terriblement tabou, et ridiculisé par la très grande majorité des êtres humains. Pourtant, certains l'ont fait, et ils rapportent de troublantes expériences...

 

Lire la suite sur  http://www.veganspirit.fr/veganspirit/nl4plantes

 

il y a en bas de l'article des liens et des références intéressantes

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1 juillet 2010 4 01 /07 /juillet /2010 15:22

Encore un exemple qui nous montre l'amour inconditionnel de certains animaux à notre égard. Et nous ? Quel amour leur portons-nous ?

En français

http://www.dhnet.be/infos/monde/article/315866/un-chat-parcourt-3000-km-pour-retrouver-ses-maitres.html

Un chat parcourt 3.000 km pour retrouver ses maîtres

Karim a retrouvé ses anciens maîtres deux ans après qu'ils aient déménagé

MOSCOU Un chat a parcouru plus de 3.200 kilomètres, passant de l'Ouzbékistan à la Russie, pour retrouver ses maîtres qui avaient déménagé sans lui, peut-on lire sur le site internet ananova.com.

Ravila Hairova, âgée de 52, pensait que le déménagement serait un trop grand changement pour Karim, son compagnon à quatre pattes, et avait dès lors demandé à ses voisins de prendre soin de lui. Elle avait laissé ses affaires préférées afin qu'il se sente chez lui.

Mais deux ans plus tard, elle a eu la surprise de retrouver Karim, affamé, attendant devant la porte de sa nouvelle maison située en Russie.

"Je savais par mes anciens voisins qu'il avait disparu de la maison quelques jours après notre départ et j'en étais très triste, mais nous n'avons plus eu de nouvelles à son sujet par la suite", a-t-elle expliqué.

"Puis un jour, alors que je marchais le long de la route, j'ai vu ce chat qui semblait m'attendre. Quand je me suis approchée j'ai vu que c'était Karim - amaigri et en mauvaise condition, mais c'était bien lui. Il est très heureux aujourd'hui, tout comme nous. Je n'ai aucune idée de comment il nous a trouvés mais je suis très contente qu'il l'ait fait."

 

 

In english

 

  http://www.aroundglobe.net/2010/06/cat-follows-owners-2000-miles.html

 

A cat reportedly trekked 2,000 miles to find his owners after they moved house without him.

Ravila Hairova, 52, thought her grey cat Karim would find the change too upsetting so she asked neighbours to take him in.

She even left his favourite chair, cushion and food bowls behind in Gulistan, Uzbekistan, so he would feel at home.

But two years later she found her bedraggled, starving pet waiting on her doorstep at her new home in Liska, Russia.

"I knew he had disappeared from my neighbours' home a few days after we left which was very sad but we never heard another word about him," she said.

 

"Then I was walking along the road and I saw this cat which seemed to be waiting for me. When I go closer I saw it was Karim - thin, and in very poor condition but it was him.

 

"He is very happy now and so are we. I've no idea how he found us but I'm very glad he did."

Ravila's husband Lev Kondratyev, 46, said: "He looks like he used up all of his nine lives to get to us - but it's definitely him.

 

"There are certain marks on his body including a scar on his tail when it was caught in the door that show us he is 100 per cent our Karim - and he obviously recognised us as well."

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29 juin 2010 2 29 /06 /juin /2010 12:07

Chaque année, en lot et Garonne (et certainement ailleurs)  se déroule le Festival de l'Ortie. En mai 2010 il a eu lieu à la SAUVETAT-DE-SAVERES. Ma soeur et son compagnon y sont allés, et ont pu récupérer quelques recettes du repas succulent qu'ils ont dégusté.

pesto de coquelicot

une grosse poignée de jeunes feuilles
50g d'amandes
1/2 gousse d'ail
125ml d'huile
50 g de parmesan
2 c à soupe de jus de citron
sel,poivre

 

Mixer les feuilles ,ajouter le citron puis les autres ingrédients sauf le parmesan qui sera rajouté à la fin. Mixer jusqu'à consistance crémeuse

 

 

flan jaune d'or

pour 4 personnes
4 oeufs
1 brique 20cl de crème fraîche
50 g râpé
100 fleurs de pissenlits (uniquement les pétales) 
échalote

 

Faire revenir l'échalote dans un peu de beurre. Ajouter au mélange oeufs battus,créme,fromage puis les fleurs en dernier. Saler,poivrer.
Verser en ramequins ou plat à four et cuire au bain marie t°moyenne environ 20mn

 

 

velouté de mauve

2 poignées de fleurs et 2 de feuilles
2 pommes de terre
2oignons
2 carottes
sel poivre,crème fraîche


Ffaire fondre l'oignon dans de l'huile d'olive

Ajouter les feuilles de mauve et tous les légumes. Cuire environ 30mn. Ajouter les fleurs. Cuire encore qqes minutes. Mixer. Saler,poivrer et ajouter la crème selon gôut au moment de servir

 

 

vin de coucou

1 l de fleurs de coucou
2 mandarines non traitées
1 citron non traité
1l de vin blanc moelleux
1 verre d'armagnac
150 g de sucre
gingembre cannelle

 

Melanger le sucre avec les épices et recouvrir les fleurs. Imbiber avec l'armagnac et laisser reposer 12 heures. Couvrir avecle vin blanc et ajouter les écorces de mandarine et citron. Laisser macérer 15 jours au frais. Filtrer et mettre en bouteille

janine laval

 

 

Pour les sites :

http://www.ladepeche.fr/article/2010/05/09/831754-LA-SAUVETAT-DE-SAVERES-Quand-l-ortie-se-fait-douceur.html

http://ortie.free.fr/

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29 juin 2010 2 29 /06 /juin /2010 11:32


Une délicieuse interview en attendant de voir le film http://www.dailymotion.com/video/xd0gvj_coline-serreau-bfmtv-avec-karl-zero_news

 

le site officiel http://www.solutionslocales-lefilm.com/  

 

Une rubrique intéressante "des idées pour agir". http://www.solutionslocales-lefilm.com/des-idees-pour-agir

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28 juin 2010 1 28 /06 /juin /2010 18:48



http://www.la-croix.com/Des-chercheurs-ont-reussi-a-rendre-la-vue-a-des-souris/article/2430400/5547


Des chercheurs suisses de l’Institut Friedlich Mieschler de Bâle, en collaboration avec des équipes de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), du Cnrs et de l’Université Pierre-et-Marie-Curie au sein de l’Institut de la vision, viennent de rendre la vue à des souris atteintes de rétinite pigmentaire, une maladie génétique entraînant une diminution de la vision et, à terme, une cécité. Chez l’homme, ils ont réussi à traiter des cellules rétiniennes malades mises en culture. Ces travaux sont publiés dans la revue Science.

Qu’est-ce que la rétinite pigmentaire ?

Cette maladie qui affecte 1 personne sur 5 000 se traduit par une diminution progressive de la vue aboutissant à la cécité. Touchant d’abord les cellules rétiniennes spécialisées dans la vision nocturne – les bâtonnets –, elle s’attaque ensuite aux cellules de la vision diurne, les cônes. Ces deux types de cellules captent la lumière et la convertissent en impulsions nerveuses qui, véhiculées par le nerf optique, sont ensuite traitées par le cerveau. Si la maladie détruit les bâtonnets, elle ne fait qu’affecter les cônes qui, devenus non fonctionnels, survivent et restent en place. D’où l’idée des chercheurs de restaurer la fonction visuelle des cônes défectueux.

Quel est le principe du traitement ?

La technique employée est une forme de thérapie génique. Elle consiste à envoyer dans les cellules coniques déficientes, à l’aide d’un vecteur (généralement un virus rendu inoffensif), une protéine correctrice. Ici, « il s’agit d’une protéine capable de coupler la stimulation lumineuse à une molécule particulière, ce qui permet de réintroduire toute une cascade de mécanismes nécessaires à la vision, explique José-Alain Sahel, professeur et chef de service à l’hôpital des Quinze-Vingts (Paris) et à la Fondation Rothschild. Nous avons ainsi pu recréer un véritable système photoélectrique biologique.»

Cette thérapie est-elle extrapolable à l’homme ?

Ces résultats prometteurs ont été confirmés par l’équipe de Serge Picaud, chercheur Inserm à l’Institut de la vision, sur des rétines humaines mises en culture. La protéine-médicament s’est activée dans les cellules coniques, leur conférant ainsi une nouvelle sensibilité à la lumière. Une rétine artificielle, en quelque sorte. « Nous sommes capables, au sein du centre de maladies rares de la rétine, de cibler, grâce à des techniques d’imagerie rétinienne à haute résolution, les patients chez qui cette thérapie pourrait être appliquée », précise José-Alain Sahel. Toutefois, il faudra encore attendre pour un traitement en routine, car le passage de la souris à l’homme comporte toujours des incertitudes.

Denis SERGENT

__._,_.___

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28 juin 2010 1 28 /06 /juin /2010 18:47



http://www.dna.fr/fr/infos-generales/depeches-AFP/index.html#TB_inline?height=500&width=600&inlineId=AFPNews1&modal=false

La Première ministre islandaise, Johanna Sigurdardottir, a épousé sa
compagne dimanche, jour de l'entrée en vigueur de la loi légalisant
les mariages homosexuels dans le pays nordique.

 

Selon la radio-télévision islandaise RUV, la dirigeante islandaise a
officiellement épousé sa compagne, Jonina Leosdottir, après le dépôt
d'une demande de transformation de leur union civile en un mariage en
bonne et due forme.Aucune cérémonie particulière n'a eu lieu, selon le
principal média islandais.Le Parlement islandais a adopté à
l'unanimité le 12 juin la légalisation du mariage homosexuel, une loi
qui est entrée en vigueur dimanche.Jusqu'à présent, les couples
homosexuels pouvaient s'unir légalement et bénéficier des mêmes droits
que les couples hétérosexuels, mais l'union n'était pas un véritable
mariage.

 

Les couples déjà unis civilement, comme la Première ministre
et sa compagne, doivent demander une validation de leur union
signifiant qu'ils sont bel et bien mariés.Arrivée au pouvoir en
février 2009, Mme Sigurdardottir, qui vit avec sa compagne depuis
plusieurs années, est la première chef de gouvernement ouvertement
homosexuelle.

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