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  • : Le blog de Françoise
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  • : Ma nation, c'est l'infini. Aller au-delà des frontières, terrestres, planétaires, galactiques, ethniques, culturelles, génétiques, sexuelles et autres, c'est le début de la liberté et de l'amour universel. My nation is the Infinite. To go beyond terrestrial, planetary, galactical, ethnic, genetic, sexual and others frontiers. This is the beginning of freedom and universal love.
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20 octobre 2020 2 20 /10 /octobre /2020 20:37
Feuilles de vignes à ma façon
Feuilles de vignes à ma façon
Feuilles de vignes à ma façon

Feuilles de vignes à ma façon

C'est un peu long à confectionner mais quel régal !

Ingrédients : feuilles de vignes en pot, riz, oignon blanc, noisettes, amandes et raisins secs réhydratés coupés en petits morceaux, menthe fraîche ciselée, algues en poudre, vinaigre et huile pour la cuisson.

* tremper pendant une heure les raisins secs et les amandes dans de l'eau chaude. Enlevez la peau des amandes et couper les raisins secs. Couper en petits morceaux également les amandes et noisettes ainsi que l'oignon. Plus c'est petit, meilleur c'est !

* Faire cuire le riz avec les algues dans un faitout. (Quelques heures auparavant vous aurez mis le riz dans de l'eau que vous aurez jetée pour enlever le trop plein d'amidon).

* Il est important de bien rincer les feuilles de vignes, une par une en les séparant (au moins deux fois). Réservez-les

* Faire dorer les oignons en petits morceaux dans un peu d'huile. Puis petit à petit ajouter les noisettes, amandes et raisins secs

* Ajouter le riz cuit. Laisser mijoter encore quelques minutes. Ajouter du vinaigre (le mien est parfumé à la sauge, lavande et romarin. Il est fait maison).

* Eteignez le feu et ajouter la menthe fraîche. Mélanger.  La farce est prête.

* Etalez les feuilles de vigne. N'hésitez pas à en mettre deux si elles sont petites. Mettez-les dans un faitout. Faites-les cuire à l'étouffée avec un peu d'eau

* Puis mettez-les dans un plat creux. Ajoutez de l'huile d'olive pour les conserver. Mettez au frigo.

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14 octobre 2020 3 14 /10 /octobre /2020 17:47
Le bonheur
...votre bonheur n'a pas seulement un effet sur les autres,
mais il a également un effet sur les arbres, les papillons, sur tout autour de vous.
Les plantes et les arbres sont heureux de ressentir votre bonheur.
L'herbe est vivante, elle ressent votre bonheur. Tout, l'univers, l'infini, tout ressent votre bonheur.
Et si vous êtes heureux, vous ressentez aussi le bonheur des arbres, le bonheur de l'herbe,
le bonheur des papillons, le bonheur de l'univers.
Raël - Contact 380

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13 octobre 2020 2 13 /10 /octobre /2020 11:24
Surpopulation sur la planète: ne faites plus de bébés !

Surpopulation sur la planète: ne faites plus de bébés !

https://www.raelfrance.fr/surpopulation/

Pour diminuer l’effet de la surpopulation sur la planète, ne faites plus de bébés !

 

  • Un article de la BBC fait état d’un baisse drastique de la natalité en Europe. L’Europe du sud étant globalement plus touchée que l’Europe du Nord. Maitreya Raël s’exprime sur la portée de cette baisse des naissances puis sur le grand danger de la surpopulation.

     

    “Merveilleuse nouvelle! Ne faites pas de bébés! C’est la meilleure façon de lutter contre la surpopulation. Ce stupide article explique la tendance par la «raison économique et l’incertitude», mais oublie de nommer la meilleure raison de ne pas avoir des bébés: la sagesse lorsque la surpopulation tue l’humanité, créant des guerres et détruisant l’écosystème!
     

     

    De plus en plus de femmes en sont conscientes et refusent admirablement d’aggraver le problème. Avoir un bébé est principalement un plaisir égocentrique. Quand certaines femmes raéliennes me disent qu’elles aimeraient avoir un bébé c’est habituellement parce qu’elles se sentent inutiles et déprimées. Mon conseil est toujours: achetez un chat ou un chien! Avoir un bébé n’est pas un traitement contre la dépression! Et l’accouchement rend habituellement les femmes encore plus déprimées. Et créer un bébé qui devra être élevé par une mère déprimée est un terrible acte d’égoïsme.
     

     

    Si vous voulez vraiment prendre soin d’un enfant: adoptez-en un! Il y a tellement d’orphelins! Et comme ça, vous éviterez le terrible plaisir égocentrique de perpétuer VOS gènes. Ce plaisir égocentrique est aussi celui d’une nation. Car les nations riches poussent les femmes à avoir plus de bébés afin de lutter contre le problème du vieillissement de la main-d’œuvre tout en fermant leur frontière à l’immigration. En d’autres termes par exemple pour la France: faites des bébés pour que notre nation soit peuplée par de «vrais français» et expulsons les immigrants. C’est de la suprématie raciste et nationaliste. Avec les frontières ouvertes partout pas besoin de faire plus de bébés.
     

     

    Nous sommes une race: les êtres humains de la Terre qui ont besoin de réduire sa population.”
    – Maitreya Raël –

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13 octobre 2020 2 13 /10 /octobre /2020 11:20
Et s'il fallait arrêter de faire des enfants pour sauver la planète ?

Et s'il fallait arrêter de faire des enfants pour sauver la planète ?

 
Des femmes et des hommes choisissent de ne pas faire d'enfant pour des raisons climatiques et environnementales : ne pas contribuer à la surpopulation et donc à l'épuisement des ressources naturelles de la Terre. Mais est-ce une solution réellement efficace ? Explications...
 
 
L'ONU prévoit plus de 11 milliards d'êtres humains dans le monde en 2100. Renoncer à enfanter fait économiser 58 tonnes de CO2 par personne et par an. Peut-on sauver la planète en freinant la croissance démographique ?
 

Si nous vivions tous comme aux États-Unis, il faudrait les ressources de 4 planètes Terre pour subvenir aux besoins de la population mondiale. Ne pas avoir d'enfant ou en faire moins serait LA bonne action pour réduire notre empreinte carbone. Selon des chercheurs de l'Université de Lund en Suède, cela permettrait d'économiser 58 tonnes de CO2 par personne et par an. Des femmes et des hommes ont fait ce choix radical : celui de ne pas faire d'enfant.

On les appelle les GINKS pour : "Green Inclination, No Kids", traduisez par : "Engagement vert, pas d'enfant". À l'origine de cette conviction : la journaliste et essayiste Lisa Hymas qui s'est longtemps penchée sur les questions climatiques et a, elle aussi, renoncé à enfanter. Quels sont les arguments des GINKS ? Et surtout, est-ce une solution réellement efficace pour sauver notre planète ?

Un choix radical soutenu par des personnalités militantes

C'est le choix qu'a fait l'ancienne pilote automobile et militante environnementale Leilani Münter car elle estime que "le monde sera meilleur s'il est moins peuplé". Le prince Harry et Meghan Markle avaient aussi annoncé dans les médias leur souhait de ne faire qu'un ou deux enfants maximum pour limiter l'impact sur l'environnement. Renoncer à faire un enfant ferait économiser l'équivalent de 620 allers-retours Paris - New-York !

En effet, chaque être humain consomme des ressources et participe à l'émission de CO2. À titre comparatif : ne pas faire d'enfant permet d'économiser 58 tonnes de CO2 par personne et par an contre 2,4 tonnes lorsque l'on renonce à la voiture, et - de 0,2 tonne lorsque l'on change ses ampoules. Des économies liées notamment aux kilos de couches, de nourriture, lessive et aux autres ressources que cet enfant dépensera à sa vie adulte.

Autre argument avancé par les GINKS : quelle planète laisser à ces enfants ? Une planète-poubelle et sans ressources ? En effet, depuis le 22 août dernier, nous avons déjà épuisé toutes les ressources que la planète peut produire en une seule année. En 2020, il nous faudrait l'équivalent de 1,8 Terre pour subvenir aux besoin de la population. Alors, imaginez si nous étions encore plus nombreux sur Terre ?

11,2 milliards d'êtres humains en 2100 :

L'accroissement de la population a bien un impact sur la planète. En 1800, la population mondiale était de 1 milliard, en 2020 nous sommes plus de 7 milliards dans le monde et selon les dernières prévisions de l'ONU, à la fin du XXIème siècle nous serons près de 11,2 milliards d'êtres humains. En deux siècles, les émissions de gaz à effet de serre ont explosé. Ce n'est pas tant la démographie mondiale qui pose problème ce sont aussi les industries polluantes.

En effet, la démographie des pays industrialisés a beaucoup plus d'impact. Selon l’illustratrice et militante écologique Muriel Douru : "un enfant français produit l'équivalent en terme de déchet de 15 enfants camerounais". Le démographe et directeur de l'EHESS, Hervé Le Bras explique que dans ces pays développés "la fécondité a été remplacée par la consommation". Au Brésil, le taux de natalité a baissé mais le taux de PIB a été multiplié par 4 au cours des 40 dernières années.

Ne pas faire d'enfant a certes un impact positif sur l'environnement mais selon les chercheurs, ce n'est pas cette unique solution qui permettrait de sauver la planète. Pour lutter efficacement contre le réchauffement climatique, il faut dans le même temps freiner la croissance démographique mondiale et agir concrètement pour changer de mode de vie et de modèle économique : consommer moins de viande, favoriser les énergies vertes...

 

 

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12 octobre 2020 1 12 /10 /octobre /2020 09:05
Et si l’Univers tout entier était un gigantesque réseau de neurones informatique ?

Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas ... ou bien l'infiniment petit et l'infiniment grand, c'est la même chose. Les ELOHIM, humains venus d'une autre planète pour créer toutes formes de vie sur la TERRE grâce à l'ingénierie génétique, nous le dit depuis longtemps. Pour en savoir plus, renseignez-vous sur le site www.rael.org.

 

Et si l’Univers tout entier était un gigantesque réseau de neurones informatique ?

 
 
Fleur Brosseau    physique      10 septembre 2020

 

 

C’est ce que suggère le physicien et cosmologiste Vitaly Vanchurin, de l’Université du Minnesota à Duluth, dans une prépublication déposée sur arXiv. L’idée paraît complètement dingue, pour autant, peut-on catégoriquement la rejeter ? Vanchurin estime que l’hypothèse du réseau neuronal pourrait constituer le chaînon manquant, tant recherché, permettant de concilier mécanique quantique et relativité générale.

 
En mécanique quantique, le temps est universel et absolu, tandis que la relativité générale soutient que le temps est relatif, lié au tissu de l’espace-temps. Or, selon Vanchurin, la dynamique d’apprentissage d’un réseau de neurones peut présenter « des comportements approximatifs » décrits à la fois par la mécanique quantique et la relativité générale.
 
Une nouvelle définition de la réalité

Ainsi, dans son article, le physicien explore la possibilité que l’univers entier, à son niveau le plus fondamental, soit un réseau neuronal informatique. Il souligne que les équations de la mécanique quantique décrivent assez bien le comportement d’un réseau neuronal composé d’un très grand nombre de neurones, tant près de l’équilibre que lorsqu’il s’en éloigne. Or, ces mêmes lois de mécanique quantique décrivent le fonctionnement de tous les phénomènes physiques.

Par ailleurs, il est admis que la mécanique quantique fonctionne plutôt bien à petite échelle et que la relativité générale fonctionne bien à grande échelle, mais jusqu’à présent, nous n’avons pas été en mesure de réconcilier les deux théories dans un cadre unifié. C’est ce qu’on appelle « le problème de la gravité quantique ». De toute évidence, il manque quelque chose, notamment la prise en compte des observateurs du phénomène considéré ; c’est ce que l’on désigne par « le problème de la mesure quantique ».

Partant de ce constat, Vanchurin estime qu’il y a non pas deux, mais trois théories à unifier : la mécanique quantique, la relativité générale et les observateurs. Or, la quasi-totalité des physiciens estiment que la mécanique quantique est le paradigme principal, dont tout le reste doit théoriquement découler (même si personne ne sait exactement comment établir le lien). Aujourd’hui, Vanchurin avance une autre possibilité : l’existence d’un réseau neuronal microscopique en tant que structure fondamentale, dont tout le reste — la mécanique quantique, la relativité générale et les observateurs macroscopiques — émerge.

Comment le physicien en est-il venu à cette hypothèse ? Dans une précédente publication, il s’est tout d’abord intéressé au fonctionnement de l’apprentissage profond, en appliquant les méthodes de la mécanique statistique au comportement des réseaux neuronaux. Or, il s’est avéré que dans certaines limites, la dynamique d’apprentissage des réseaux de neurones est très similaire à la dynamique quantique observée en physique. De là a émergé l’idée que le monde physique n’était peut-être qu’un immense réseau neuronal.

Une sélection naturelle de structures neuronales

Pour établir sa théorie, Vanchurin s’est notamment appuyé sur la théorie d’Everett (ou théorie des mondes multiples) et sur l’interprétation de Bohm (dite théorie quantique à « variables cachées », soit des paramètres physiques hypothétiques qui ne seraient pas pris en compte par les postulats de la mécanique quantique).

Dans son postulat, il a considéré que les variables cachées étaient les états des neurones individuels et les variables entraînables (telles que le vecteur de biais et la matrice de poids) étaient des variables quantiques. Cependant, les variables cachées peuvent être ici non locales (ce qui va à l’encontre des inégalités de Bell) : chaque neurone peut être connecté à tous les autres neurones, le système n’a donc pas besoin d’être local.

 

Une idée folle ? À ce jour, aucune des « théories du tout » qui ont déjà été proposées pour décrire l’ensemble des quatre interactions fondamentales — gravitation, électromagnétisme, interactions faible et forte — n’est recevable : aucune n’a permis de décrire l’interaction gravitationnelle en cohérence avec le cadre théorique issu de la physique des particules, qui est utilisé pour décrire les trois autres interactions.

Mais Vanchurin souligne que contrairement aux autres théories du tout, la sienne est plus difficile à démentir : en effet, il faudrait trouver un phénomène physique qui ne peut pas être modélisé avec un réseau de neurones. Une tâche difficile, selon lui, car nous en savons trop peu sur le comportement des réseaux neuronaux et sur le fonctionnement réel de l’apprentissage automatique.

Le physicien ajoute par ailleurs que sa théorie peut même expliquer le mécanisme de sélection naturelle. En effet, il existerait des structures (ou sous-réseaux) du réseau neuronal microscopique plus stables que d’autres. Ces structures survivraient à l’évolution, tandis que les moins stables seraient éliminées, et ce, peu importe l’échelle considérée. Tout ce que nous voyons autour de nous (les particules, les atomes, les cellules, les observateurs, etc.) serait le résultat de la sélection naturelle.

La plupart des physiciens et des experts en apprentissage automatique demeurent sceptiques face aux conclusions de leur confrère. Vanchurin lui-même avoue qu’il n’a sans doute pas encore saisi toute la complexité des réseaux neuronaux, et qu’il n’a « même pas eu le temps de réfléchir à ce que pourraient être les implications philosophiques des résultats ». Quant à savoir si nous vivons tous dans une sorte de simulation « à la Matrix », le physicien répond : « Non, nous vivons dans un réseau de neurones, mais nous ne verrons peut-être jamais la différence ».

Source : arXiv, Vitaly Vanchurin
 

 

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12 octobre 2020 1 12 /10 /octobre /2020 08:29
Revégétaliser les espaces verts pourrait renforcer notre système immunitaire

 

Revégétaliser les espaces verts pourrait renforcer notre système immunitaire

https://trustmyscience.com/revegetaliser-espaces-verts-pourrait-renforcer-notre-systeme-immunitaire/

 

De nombreuses maladies non transmissibles sont liées à une moindre diversité du microbiote humain et environnemental. Le phénomène augmente à l’échelle mondiale, dans des proportions épidémiques parmi les populations urbaines industrialisées. Des chercheurs australiens démontrent que la restauration du microbiote dans les espaces verts urbains pourrait inverser la tendance et donc, préserver la santé humaine.

 

Dans le cadre de leur étude, publiée dans la revue Restoration Ecology, les chercheurs ont comparé la composition et la population microbienne de différents types d’espaces verts urbains (pelouses, terrains vagues, parcs et zones boisées) avec celles des espaces boisés revégétalisés, au sein de la ville de Playford (au sud de l’Australie). Leur objectif était de vérifier s’il était possible de restaurer le microbiome de ces espaces, un procédé appelé rewilding. Ceci dans le but d’exposer l’Homme à davantage de microbes et ainsi entraîner son système immunitaire.

Au plus proche de la nature… et de ses microbes

Le rewilding (ou « réensauvagement ») consiste à réintroduire, sur le terrain, des espèces animales disparues. Le concept, à grande échelle, vise à recréer les écosystèmes, à protéger les espèces menacées (par les activités de l’homme ou les changements climatiques) et à favoriser le développement de la flore (dont les graines sont disséminées par les grands animaux).

 

Ici, les chercheurs souhaitent rétablir la biodiversité à l’échelle microscopique : ils s’intéressent en effet au microbiote qui peuple les espaces verts urbains, et qui s’est largement dégradé au fil du temps. Leur hypothèse est que favoriser la diversité de ces micro-organismes nous permettrait de réguler et d’entraîner nos défenses immunitaires.

 

Jacob Mills, chercheur en sciences biologiques et de l’environnement à l’Université d’Adélaïde, explique qu’historiquement, l’Homme vivait dans des environnements plus ruraux et sauvages ; les enfants grandissaient à l’extérieur, au contact de divers microbes. Aujourd’hui, la tendance est à l’urbanisation, ce qui n’est pas forcément un gage de qualité de vie : « L’urbanisation a radicalement changé nos enfances. Plus de temps passé à l’intérieur, une alimentation de mauvaise qualité et moins d’exposition à des environnements sauvages ont entraîné une augmentation significative des maladies non transmissibles telles qu’une mauvaise santé respiratoire », explique Mills.

 

En zone urbaine, le contact des espaces verts permet aux enfants de retrouver tous les bénéfices de l’exposition aux microbes de la nature : en effet, ces espaces leur offrent l’opportunité de jouer par terre, de ramasser des choses au sol, etc. Or, il existe par exemple dans le sol des composés microbiens qui réduisent le stress et l’anxiété. « En termes simples, plus les enfants sont exposés à la diversité du microbiote, plus ils grandiront en bonne santé », résume Mills.

Plus de microbes pour « entraîner » les défenses de l’organisme

L’étude de Mills et ses collaborateurs a révélé que les zones boisées revégétalisées comprenaient plus d’espèces végétales indigènes que d’autres espaces verts tels que les pelouses et les terrains vagues. Elles présentaient en outre une plus grande diversité de microbes ; le microbiote identifié dans les espaces revégétalisés, particulièrement riche, était similaire à celui des forêts résiduelles (et différait considérablement de celui des pelouses et des terrains vagues). « Cela indique que le microbiote des sols des boisés revégétalisés était quasiment revenu à son état initial de biodiversité, plus naturel », explique Mills.

 

Plusieurs paramètres influent sur la diversité microbienne et sur la santé de l’écosystème : la richesse en espèces végétales, le pH du sol et la conductivité électrique. Il se trouve que les espaces urbains dont la population microbienne est peu diversifiée tendent à être plus propices aux agents pathogènes et aux ravageurs. L’augmentation de la diversité des espèces végétales est donc importante pour la structure des communautés microbiennes et pour améliorer le fonctionnement global de l’écosystème.

 

Les chercheurs espèrent que les résultats de leur étude serviront aux professionnels de l’urbanisme, qui auraient tout intérêt à prendre en compte les espaces verts et le réensemencement du microbiome dans leurs projets futurs : « Une plus grande biodiversité peut permettre de réduire les taux de maladies non transmissibles, en entraînant nos systèmes immunitaires à lutter contre les pathogènes », souligne Mills. L’expert estime que la revégétalisation des espaces pourrait être une mesure préventive efficace pour la santé des populations, particulièrement dans les zones socio-économiques défavorisées. Cela pourrait notamment alléger les systèmes de santé.

 

Cette étude constitue la première preuve du fait que la revégétalisation contribue à augmenter la diversité du microbiote des sols urbains : en créant des conditions d’habitat plus sauvages, on observe un retour à une biodiversité plus naturelle. « Des études futures permettront de comprendre et de mesurer l’impact de ce rewilding sur la santé humaine », conclut Mills.

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7 octobre 2020 3 07 /10 /octobre /2020 09:46
Sclérose en plaques (SEP) : Un composé venant des fruits  aide à reconstruire la gaine de myéline

Slérose en plaques (SEP) : Un composé venant des fruits  aide à reconstruire la gaine de myéline

https://technologiemedia.net/2020/04/07/un-compose-venant-des-fruits-contre-la-sclerose-en-plaques/

De nouvelles recherches suggèrent qu’un composé présent dans la pelure de fruits tels que les pommes et les pruneaux, et dans certaines herbes, peut réduire les dommages causés aux neurones, et aider à reconstruire les gaines protectrices couvrant les neurones, inversant ainsi les dommages.

« Bien que les preuves soient préliminaires – nos données proviennent de modèles animaux de cette maladie – il est encourageant de voir en laboratoire un composé qui à la fois arrête et répare les dommages causés par la SEP », déclare Guang-Xian Zhang, docteur, et coauteur principal au Sidney Kimmel Medical College de l’université Thomas Jefferson.

« Il y a un travail supplémentaire que nous devons faire pour tester la sécurité de ce composé appelé acide ursolique », déclare le coauteur principal A.M. Rostami. « Mais c’est une nouvelle piste formidable pour le traitement de cette maladie ».

Les chercheurs ont utilisé une forme purifiée d’acide ursolique chez des souris qui avaient développé une sclérose en plaques. « De nombreuses expériences ont porté sur des souris en phase aiguë, lorsque la maladie est à son début ou à son apogée », explique le Dr Zhang. « Nous avons plutôt testé si ce composé était efficace dans les maladies chroniques, une fois qu’il y a déjà eu des dommages chroniques aux tissus du système nerveux central ».

Une amélioration après 20 jours de traitement

Les chercheurs ont commencé à traiter les souris à 60 jours, un stade bien plus avancé de la maladie, lorsque des lésions tissulaires chroniques se sont formées dans le cerveau et la moelle épinière, qui doivent être réparées et régénérées. Ils ont traité ces souris pendant 60 jours, et ont commencé à constater une amélioration au 20e jour du traitement. Les souris qui étaient paralysées au début de l’expérience, ont retrouvé la capacité de se déplacer, bien qu’avec une certaines faiblesse.

Ce n’est pas un remède miracle, mais si nous observons une réponse similaire chez les gens, cela représenterait un changement significatif de leur qualité de vie. Et surtout, il s’agit d’un renversement, que nous n’avions jamais vu auparavant avec d’autres médicaments à un stade aussi avancé de la sclérose en plaques », explique le Dr Zhang.

Les chercheurs ont également étudié comment l’acide ursolique agissait sur les cellules. Ils ont observé qu’il supprimait les cellules Th17 – un type de cellule immunitaire qui est l’un des principaux moteurs de la réponse auto-immune pathologique dans la SEP. De nombreuses thérapies semblent supprimer les Th17. Mais les chercheurs de Jefferson ont montré que ce composé pouvait activer les cellules précurseures pour qu’elles se transforment en cellules productrices de gaine de myéline, appelées oligodendrocytes.

Ce composé aide à activer les cellules souches

« Cet effet de maturation est le plus crucial », déclare le Dr Zhang. « Les oligodendrocytes producteurs de gaine de myéline sont épuisés dans la SEP. Et les cellules souches qui produisent de nouveaux oligodendrocytes sont en sommeil et incapables de mûrir. Ce composé aide à activer ces cellules souches pour qu’elles fabriquent de nouveaux oligodendrocytes, et est probablement responsable de l’inversion des symptômes que nous avons observés ».

Les prochaines étapes pour les chercheurs consisteront à tester la sécurité de ce composé. Bien que l’acide ursolique soit disponible sous forme de complément alimentaire, il pourrait être toxique à très fortes doses. « Il reste un certain nombre de tests à effectuer avant de procéder aux premiers essais cliniques », explique le Dr Rostami. « Cependant, nous avançons rapidement avec cette approche qui semble extrêmement prometteuse. »

Cette recherche a été publiée dans PNAS.

Source :  Thomas Jefferson University
Crédit photo : Pexels

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31 août 2020 1 31 /08 /août /2020 08:41
L’association Gotopless vise à promouvoir l’égalité des sexes

Lettre à Mme MORENO, Ministre déléguée à l’Egalité Femme Homme

  • Paris, le 19 août 2020

    Madame la Ministre,

    Vous venez d’être nommée Ministre déléguée à l’Egalité entre les Femmes et les Hommes et nous vous félicitons pour cette nomination.
    Femme de caractère, humaniste et challengeuse à la fois, vous annoncez à peine nommée, votre engagement à faire baisser le nombre de féminicides en France : “Ce que je veux, c’est que les féminicides passent de 170 actuellement identifiés à 10 par an. Alors, je pourrai mourir tranquille”. J’espère de tout cœur que vous réussirez ce challenge qui n’est pas moindre. Nous sommes à vos côtés pour faire en sorte, au-delà de cet objectif défini, qu’il n’y ait plus une seule vie humaine arrachée à la vie ! 0 féminicide !
     

    L’association Gotopless vise à promouvoir l’égalité des sexes

    Je m’appelle Maryline Canin. Je représente l’association GoTopless, association indépendante à but non lucratif basée aux Etats-Unis, créée en 2007 sous l’impulsion du leader spirituel Raël. Le but de GoTopless est de promouvoir l’égalité des sexes en s’appuyant sur un postulat simple : « là où les hommes ont le droit d’être seins nus, les femmes doivent avoir le même droit ». Des manifestations seins nus organisées à l’occasion de la Journée Internationale GoTopless regroupent des milliers de personnes chaque année, le dimanche le plus proche du 26 août*.

    Cette année, crise sanitaire oblige, nous serons principalement présent.e.s sur les réseaux sociaux et en conférence planétaire sur zoom, le 26 août à 9PM heure de NY/pour l’Europe le 27 août à 3AM heure de Paris (salon : https://zoom.us/j/84846057067)

    Les militantes et militants GoTopless ne montrent pas leurs seins nus dans le but d’attirer l’attention dans un geste sexuel. Il s’agit bien là d’une revendication politique de libération des femmes. Qu’une femme montre ses seins devrait être naturel comme faisant partie de la vie. Cela devrait être un non-événement. Rappelons que les hommes se sont battus eux aussi pour obtenir ce même droit en 1936, soit au siècle dernier.

    Il y a ceux qui pensent qu’il y a des choses plus urgentes. C’est déjà ce qui a été dit aux femmes quand elles ont demandé le droit de vote. Qu’y a-t-il de plus urgent que de faire appliquer réellement les Droits de l’homme inscrits en préambule de la Constitution française ?

    Pourquoi toujours ce décalage de temps entre l’obtention d’un droit pour les hommes et l’obtention de ce même droit pour les femmes ? Deux exemples parmi d’autres illustrant cet état de faits : le droit de vote pour les femmes obtenu en 1945, presque 100 ans après les hommes ; le droit à l’autonomie financière accordé en 1965, soit un laps de temps de 150 ans pour effacer une loi du code civil qui avait édicté l’incapacité juridique totale de la femme mariée à l’époque.

    Aujourd’hui, en France, même décalage au niveau des tenues ou actions topless. Une loi punit d’un an de prison et 15 000 euros d’amende toute personne qui fait acte d’exhibition sexuelle. Et cette loi n’est appliquée qu’aux femmes. Ainsi les seins nus des Femen sont bien de l’exhibition sexuelle, a jugé la Cour de cassation en février 2020. Le groupe d’hommes HomMen qui avait manifesté seins nus en 2013 n’a pas du tout été inquiété. N’est-ce pas là de la discrimination selon le genre, en d’autres termes, du sexisme ?

    Est-ce que ce ne sont pas toujours le tabou et la culpabilité liés au corps de la femme qui entravent encore l’exercice des libertés et l’application du principe d’égalité des sexes. On considère que seul le téton féminin est un organe sexuel. Pas le téton masculin. Il est temps de pallier cette inégalité ! Et cela pour le plus grand bénéfice de la société dans son ensemble.

    En effet, le droit d’être torse nu comme les hommes donne aux femmes un puissant sentiment d’émancipation après des siècles de soumission à des valeurs religieuses puritaines et à des lois machistes. Cela ne peut que faire progresser les femmes dans tous les domaines, professionnel, personnel, familial…

    Pour celles et ceux qui ont peur que la vue de seins nus soit l’occasion de débordements de la part des hommes, qu’ils se rassurent. Quand ceux-ci ont eu le droit de montrer leur torse nu, les femmes se sont-elles ruées sur eux ? Pourquoi les hommes ne seraient-ils pas aussi raisonnables que la gente féminine ?
    Et même, si les débordements arrivaient, il faudrait repenser à la réaction du Premier Ministre israëlien, Madame Golda Meir lors d’une vague de viols qui eut lieu dans son pays, et alors que l’on réclamait le couvre-feu pour les femmes : « ce sont les hommes qui ont le problème, ce sont eux qui doivent être enfermés ».

    Les enfants ne seront pas non plus choqués quoi qu’on en dise. N’est-ce pas l’une des premières choses qu’ils voient, tâtent et sucent dans leur vie : le sein de leur mère ? Imaginer des idées sexuelles dans la tête des enfants à la vue d’un sein, n’est-il pas le résultat des cerveaux des adultes qui y transfèrent leurs propres fantasmes ?

    L’égalité topless Femmes-Hommes permettra aussi aux hommes de changer leur mentalité, et de considérer les femmes, non pas comme des êtres qui n’ont pas les mêmes droits, ou comme des objets, mais comme des sujets à part entière, et donc leurs EGALES dans tous les domaines. C’est un atout primordial dans le domaine de la lutte contre les violences faites aux femmes. N’est-ce pas ce que vous voulez ?

    C’est en changeant les choses, spécialement connectées à la culture que nous changeons le monde. Et ce thème « topless » à propos de l’égalité femmes/hommes, est tout sauf anodin : il est l’un des plus sensibles car il fait réagir à la fois les consciences, les religions et les gouvernements.

    « Topless pour tous ou pour personne, quelle égalité choisissez-vous ? », c’est la question que nous avons posée ce mois-ci à des dizaines de politiques (ministres, maires, députés…). C’est aussi la question que je vous pose, Madame la Ministre.

    Je souhaite vous rencontrer afin d’échanger avec vous sur tous les bienfaits que notre demande à être topless comme les hommes amènerait aux femmes. Il est temps d’entamer dès maintenant ce chemin auquel personne n’a pensé ou osé entreprendre dans notre pays, alors que des villes comme New-York ou des pays comme l’Allemagne par exemple y ont accédé depuis nombre d’années.
     

    Dans l’attente de votre réponse, je vous prie de recevoir, Madame la Ministre, Chère Madame Moreno, mes salutations distinguées

    1. Maryline Canin,
      Représentante GoTopless France

     

 

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29 août 2020 6 29 /08 /août /2020 14:31
Escapade à Vézenobres et repas "au grenier d'aladin"
Escapade à Vézenobres et repas "au grenier d'aladin"

Nous nous sommes restaurés dans un charmant restaurant situé sur la petite place centrale à Vézenobres. Le météo était au beau fixe, le vent léger. Un couple de chanteurs occitan nous a accompagné de ses belles balades - samba et autres - pendant que nous dégustions tajine aux légumes et citrons confits ou lieu noir et gambas au pastis.

Si jamais vous passez dans le coin je recommande ce restaurant.

 

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29 août 2020 6 29 /08 /août /2020 14:26
Escapade à Vézénobres
Escapade à Vézénobres
Escapade à Vézénobres
Escapade à Vézénobres
Escapade à Vézénobres
Escapade à Vézénobres
Escapade à Vézénobres
Escapade à Vézénobres
Escapade à Vézénobres

Escapade à Vézénobres

Quel charmant village médiéval qui a su garder tout son charme !

Vers midi, nous avons décidé de manger au restaurant situé sur la petite place du village, un restaurant qui vaut le détour et qui a pour nom "le grenier d'Aladin" : que ce soit le "lieu noir et gambas au pastis" ou bien le "tajine aux petits légumes et citrons confits", ce fut un régal.


https://www.tourismegard.com/vezenobres/vezenobres-village-de-caractere/tabid/2861/offreid/7b487388-4099-4bbf-a29d-c7eb9a81bfbb

 

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