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  • : Le blog de Françoise
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  • : Ma nation, c'est l'infini. Aller au-delà des frontières, terrestres, planétaires, galactiques, ethniques, culturelles, génétiques, sexuelles et autres, c'est le début de la liberté et de l'amour universel. My nation is the Infinite. To go beyond terrestrial, planetary, galactical, ethnic, genetic, sexual and others frontiers. This is the beginning of freedom and universal love.
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8 mai 2012 2 08 /05 /mai /2012 13:06

 

Maintenant que vous connaissez ces cinq plus grands regrets, à vous de jouer, pendant que vous êtes encore vivant. C'est également valable pour moi !

http://www.7sur7.be/7s7/fr/1522/Societe/article/detail/1428231/2012/04/24/Les-cinq-plus-grands-regrets-emis-avant-de-mourir.dhtml

Bronnie Ware en a vu des gens mourir. Infirmière en soins palliatifs en Australie, elle accompagne les malades en fin de vie. Elle a remarqué que les regrets qu'on lui confiait sur son lit de mort étaient souvent les mêmes. Sur son blog appelé Inspiration and Chai, elle a établi le top cinq de ceux qui revenaient le plus souvent. A lire avec attention afin d'en tirer le meilleur enseignement possible.

Avant de mourir, les gens regrettent généralement:

De n'avoir pas eu une vie fidèle à leurs attentes personnelles. Ils regrettent d'avoir mené une vie qui faisait plus plaisir aux autres qu'à eux.

"C'est le regret le plus commun", confie Bronnie. "Quand les gens réalisent que leur vie est presque finie et qu'ils ont un regard clair ce qu'ils ont vécu, ils voient que nombre de leurs rêves sont restés vains. La plupart des gens n'ont pas réalisé la moitié de leurs rêves et ils doivent mourir en sachant que c'est à cause des choix qu'ils ont faits ou pas faits. Être en bonne santé apporte une vraie liberté. Mais on ne s'en rend compte seulement quand on ne l'a plus."

D'avoir travaillé si dur.

"Ce regret est celui de tous les patients masculins dont je me suis occupée. Ils sont passés à côté de la jeunesse de leurs enfants et de la compagnie de leur partenaire."

De ne pas avoir eu le courage d'exprimer leurs sentiments.

"Beaucoup de gens n'ont pas exprimé leurs sentiments pour rester en paix avec les autres. En conséquence, ils ont vécu une vie médiocre et ils ne sont pas devenus ce qu'ils auraient pu être. Beaucoup de maladies se sont développées suite à l'amertume et au ressentiment qu'ils ressentaient."

De ne pas être restés en contact avec leurs amis.

"Beaucoup étaient trop pris dans leurs vies et ils ont laissé l'amitié s'effilocher. Ils avait des regrets au sujet de leurs amitiés et du temps qu'ils leur avaient accordé. Beaucoup pensent à leurs amis quand ils sont en train de mourir."

De ne pas avoir choisi d'être plus heureux.

"C'est surprenant mais cela revient souvent. Beaucoup ne s'étaient pas rendus compte que le bonheur est un choix. Ils restaient coincés dans leurs vieux schémas et dans leurs vieilles habitudes. La peur du changement fait qu'ils se sont contentés de certaines choses alors qu'au fond, ils aspiraient à rire ou à être à nouveau stupides dans leur vie."

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8 mai 2012 2 08 /05 /mai /2012 12:56

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8 mai 2012 2 08 /05 /mai /2012 12:48

 

 
Très régulièrement, le gouvernement français décide de ne plus rembourser certains médicaments car leur efficacité serait remise en cause.

 
600 médicaments bientôt non remboursés ? Le gouvernement envisagerait de ne plus rembourser près de 600 médicaments, dont les bénéfices pour la santé seraient jugés incertains, selon Le Parisien du jour.

 
De plus en plus, les campagnes médicales concernant les vaccinations, le cholestérol, etc. sont remises en question à cause des effets secondaires voire des décès inexpliqués suite aux vaccinations.
 
Pourquoi ? La réponse qui se trouve dans la vidéo ci-dessous, fait froid dans le dos. En fait, de gros cartels pharmaceutiques - gouvernés par rockfeller, rotschild, Morgan et Cie, veulent à tout prix faire de gros bénéfices sur le dos des personnes, malades ou non.

 
Sous le lien de la vidéo, vous trouverez le résumé de ce que j'ai compris en la visionnant.
 
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L'arnaque de la médecine moderne

 
- Aux Etats Unis, avant la seconde guerre mondiale, la famille ROCKFELLER obtient le contrôle stratégique du secteur de la santé.

 
- Parallèlement, en Allemagne, à la même époque, la société I.G. FARBEN organise des tests sur les prisonniers des camps de concentration.

 
- Lors du procès de Nuremberg, Nelson ROCKFELLER fait en sorte que les vrais coupables jugés au procès ne soient pas pendus. Car il a besoin d'eux. Quelques années plus tard, les directeurs d'I.G. FARBEN sortent de prison et retrouvent leurs positions directoriales pour gérer les intérêts des nouveaux propriétaires, les ROCKFELLER.

 
- les marques BAYER, BASF - the chemical company, SANOFI AVENTIS

 
- ROCKFELLER aide financièrement à la création de l'OMS - L'organisation Mondiale de la Santé - Cette organisation est largement influencé par le cartel pharmaceutique. L'objectif principal est de développer l'industrie du médicament et de protéger les intérêts des grands groupes pharmaceutiques.

 
- Le scandale de la vaccination : grippe H1N1.

Dernièrement, dans un article paru dans "horizons et débats", Jane BURGERMEISTER intente une action judiciaire contre l'OMS et les nations Unies pour bio-terrorisme et pour tentative de meurtre.

 
- Concernant le vaccin GARDASIL : trois injections sont nécessaires (120 euros x 3) ce qui a fait 350 000 000 millions de bénéfices pour SANOFI.

 
- Au Canada et aux Etats Unis, une polémique fait rage concernant ce vaccin. Les effets secondaires sont les suivants : décès, thromboses, paralysies - ceci à cause de l'adjuvant l'aluminium.

 
- En France, Xavier BERTRAND, alors Ministre de la santé, demande en urgence le remboursement du GARDASIL par la sécurité sociale, avant l'avis du Comité Technique des Vaccinations.

En 2007, 14 des 20 membres de ce Comité ont des liens avec le laboratoire SANOFI.

 
- Par manque d'innovation, les grandes industries pharmaceutiques doivent élargir leurs marchés pour élargir leurs profits. Il faut donc faire croire à l'existence de nouvelles maladies pour écouler des anciennes molécules.
 
- Parmi les médicaments mis sur le marché, 80 % ne servent à rien et comportent des risques.

 
- Il y a deux sortes de médicaments :
* Les médicaments inutiles, qui n'ont aucune efficacité et qui ont été autorisés par les autorités françaises. On les envoie dans les pays en voie de développement
* les médicaments qui sont des copies des grandes molécules américaines

 
- Le marketing de la folie : un commerce mensonger.

 
- La nouvelle tactique des cartels pharmaceutiques est de créer de nouvelles maladies : le but est d'inquiéter pour vendre des maladies : essayer de convaincre des gens en bonne santé qu'ils sont malades ou des gens légèrement malades qu'ils le sont gravement.

 
- Un exemple avec le S.A.D. - Social Anxiety Disorder : le trouble de l'anxiété sociale.

La campagne marketing concernant ce syndrome a été créée par une agence de relations publiques financée par une compagnie pharmaceutique : SB (Smithkline Beecham). En parallèle, cette compagnie a créer un anti-dépresseur le PAXIL;

 
- Résultat : quelques 100 000 000 millions de personnes dans le monde prennent des psychotropes.

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6 mai 2012 7 06 /05 /mai /2012 18:51

 

Quand on manque de place, cela peut être une bonne solution. Et cela peut permettre de "cultiver" quelques légumes, fruits et autres herbes aromatiques, une façon d'être moins dépendante des autres.

En tout cas, je pense qu'avoir un petit potager aide beaucoup pour gérer l'indépendance alimentaire et surtout pour la santé si on cultive bio.

 

Elle se nourrit grâce à son jardin planté dans son minuscule appartement de New-York!

 
http://www.rire-de-la-crise.com/elle-se-nourrit-grace-a-son-jardin-plante-dans-son-minuscule-appartement-de-new-york/
 

Agriculture chez soi : Mme Britta Riley possède un petit appartement à New-York et un jour, se rendant compte de sa dépendance alimentaire, elle décide de mettre au point un jardin vertical.

Avec ses amis, elle a développé – peu à peu – un système pour faire pousser des plantes dans de vieilles bouteilles en plastique… en les accrochant sur ses fenêtres… Avec le temps, le système s’est édulcoré. Ils ont vaqué à de nombreuses modifications jusqu’à obtenir des tomates cerises et des concombres…

Je vous propose de regarder une vidéo de 7 minutes sous-titrée en français qui présente le projet open source de fermes de fenêtres.

http://www.youtube.com/watch?v=YhvfOlPYifY

 

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4 mai 2012 5 04 /05 /mai /2012 15:04

 

Eh oui ! Etre heureux ici et maintenant, être optimiste malgré notre environnement plutôt négatif, avoir toujours des émotions positives, tout cela aide sans aucun doute à nous maintenir dans une bonne santé.
 
Pour ceux qui ont envie d'apprendre ou bien de vivre tout simplement ces émotions positives, ne rater pas le stage de l'académie du bonheur qui aura lieu du 5 au 11 août en Slovénie. De plus amples renseignements sur le site www.rael.org

 
 


http://www.psychomedia.qc.ca/sante-cardiovasculaire/2012-04-19/effet-protecteur-du-bien-etre-et-des-emotions-positives


L'optimisme, le bonheur et les émotions positives protégeraient la santé cardiovasculaire, selon une étude américaine publiée dans la revue Psychological Bulletin.

Alors que de nombreuses études ont montré que des états psychologiques négatifs comme la colère, l'anxiété, l'hostilité et la dépression peuvent nuire à la santé du cœur, l'effet des états positifs est moins connu, notent les chercheurs, car, soulignent-ils, l'absence d'états négatifs n'est pas la même chose que la présence d'états positifs.

Julia Boehm et Laura Kubzansky de l'Université Harvard ont analysé les résultats de 200 études portant sur les liens entre le bien-être psychologique positif et la santé cardiovasculaire.

Parce que le bien-être psychologique est un concept vaste, elles ont distingué entre le bien-être hédonique (émotions positives dans le quotidien), le bien-être eudémonique (dimension cognitive reconnue comme étant la satisfaction dans la vie), l'optimisme et d'autres mesures du bien-être.

Les différents aspects du bien-être étaient associés à un risque réduit d'infarctus, d'accident vasculaire cérébral et d'autres événements cardiovasculaires indépendamment de l'âge, du statut socioéconomique, du tabagisme et du poids. L'optimisme, réduisant le risque de 50%, était le plus fortement associé.

Les personnes ayant un meilleur sentiment de bien-être étaient aussi plus susceptibles de faire de l'exercice, d'avoir une alimentation équilibrée et d'avoir un sommeil suffisant. Le bien-être était aussi lié à une tension artérielle plus basse, un meilleur profil de cholestérol et de triglycérides sanguins et un poids santé.

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4 mai 2012 5 04 /05 /mai /2012 14:14

 

Super cette découverte ! Comme quoi, tous les problèmes actuels peuvent être résolus. Et la nature est la première à nous montrer l'exemple ! Il faut la protéger et la cocooner.

http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=10314


Des étudiants en biochimie de l'université de Yale ont découvert en Amazonie un champignon qui présente la particularité de dégrader et manger des résidus de plastique. L'étude vient d'être publiée dans la revue américaine Applied and Environmental Microbiology. Une découverte passionnante, à notre époque où l'Homme use et abuse du plastique sans arriver à le recycler.

C'était pendant l'été 2011, un groupe d'étudiants a passé deux semaines dans la forêt amazonienne, en Equateur. Le but de l'expédition était initialement de récupérer des organismes endophytes .De retour aux Etats-Unis, ils se sont intéressés à la résistance de plusieurs champignons à des résidus de plastique. C'est avec surprise qu'ils ont découvert que le champignon Pestalotiopsis microspora semblait littéralement dévorer le polyuréthane !

Il s'avère que ce champignon possède un enzyme capable de casser les chaînes de polyuréthane, un polymère d'uréthane très largement utilisé dans la fabrication de colles, peintures, mousses isolantes, lycra, caoutchouc, adhésifs et certains métaux... Les polyuréthanes sont généralement thermodurcissables , et représentent une masse de déchets considérable.

Une bonne nouvelle n'arrivant jamais seule, l'équipe a fait une deuxième découverte insolite: en approfondissant les recherches sur deux souches du champignon, l'enzyme s'est révélée être capable de fonctionner également en l'absence d'oxygène. Ceci pourrait être précieux pour envisager une utilisation du champignon dans une station d'épuration, où les plastiques sont généralement recouverts d'épaisses couches de terre et autres déchets, diminuant de fait l'oxygénation et compliquant d'autant plus leur décomposition.

Les plastiques, pour ceux qui y arrivent, peuvent mettre entre 50 ans et 200 ans pour se dégrader. La présente étude n'en est qu'à la phase de découverte, de nombreuses expérimentations doivent encore être poursuivies avant d'envisager l'utilisation d'un tel champignon pour aider à la décomposition des plastiques dans des décharges sanitaires. Toutefois, la découverte de cet organisme ouvre l'espoir qu'un jour nous réussissions à réduire les temps de décomposition, et les dommages subis par l'environnement.

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2 mai 2012 3 02 /05 /mai /2012 21:50

 

La propriétaire de l'animal lui avait appris à dire le nom de sa ville et les numéros de son pâté de maisons et de son domicile.
 

Un perroquet égaré dicte son adresse à la police japonaise

© Jean-Michel Psaila / Abaca

 
 
Un perroquet égaré a pu être rendu à sa maîtresse mercredi en expliquant à la police japonaise l'adresse exacte de sa propriétaire. L'oiseau s'était envolé dimanche matin de son domicile de la ville de Sagamihara, à l'ouest de Tokyo, et s'était posé peu après sur l'épaule d'un client d'un hôtel des environs, avant d'être amené à la police.

Mardi soir, le perroquet a subitement répété trois fois de suite le nom de sa ville et de son arrondissement de résidence, a expliqué un porte-parole de la police locale. Il a ensuite prononcé distinctement les numéros du pâté de maisons et du domicile de sa maîtresse, devant trois policiers aux aguets. L'oiseau a alors pu être ramené chez lui.

Sa propriétaire, une sexagénaire, avait quelque temps auparavant perdu définitivement un autre perroquet. Aussi avait-elle pris ses précautions. "Elle avait enseigné son adresse à ce perroquet après l'avoir acheté il y a deux ans", a expliqué le porte-parole. Avant d'être rapporté à sa maîtresse, l'oiseau a même eu le temps de donner aux policiers son nom, Piko-chan. "Il a dit : Tu es mignon, Piko-chan", a raconté le porte-parole.

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29 avril 2012 7 29 /04 /avril /2012 17:31

 



Un revenu universel garanti, permettant à tous de «mener une existence digne». C’est ce que propose l’initiative «Pour un revenu de base inconditionnel», publiée mardi dans la Feuille fédérale.
Si le texte ne fait que poser le principe et laisse au législateur le soin de régler le financement et le montant de ce revenu, ses promoteurs ont une idée précise de ce qu’ils envisagent: entre 2000 et 2500 francs par mois, «de quoi libérer chacun de l’obligation de travailler pour gagner sa vie», explique l’ancien vice-chancelier de la Confédération, Oswald Sigg, membre du Comité d’initiative. «Devoir travailler pour survivre est une injustice, affirme-t-il. Certains n’ont pas de travail, d’autres ne font pas ce qui leur plaît, sont surmenés, stressés. L’idée est de réduire cette injustice et d’augmenter pour tous les chances de faire ce qu’ils veulent.»

Saugrenue pour beaucoup, l’idée n’est pourtant pas nouvelle. Ebauchée au XVIe siècle par Thomas More dans son Utopie, elle est reprise par quantité de théoriciens à travers l’Histoire, de Condorcet – qui pose le principe d’un revenu inconditionnel et suffisant pour tous – au Prix Nobel d’économie Milton Friedman et son «impôt négatif», allocation fixe couplée à l’impôt sur le revenu.
Soutenu en Suisse par le réseau BIEN-CH (Basic Income Earth Network), le revenu de base repose sur plusieurs arguments: en plus de découpler la couverture des besoins vitaux d’un travail rémunéré, il améliorerait l’efficacité de l’allocation des ressources – en se substituant pour partie à la galaxie des prestations sociales – et garantirait au citoyen l’autonomie de ses choix de vie.
Cerise sur le gâteau, estime le réseau BIEN-CH, en «déconnectant les entreprises de leur obligation d’offrir des salaires suffisants», le revenu de base «flexibiliserait le marché du travail et engendrerait une nouvelle dynamique des activités économiques».

Problème: si chacun a droit à un minimum garanti, qui continuera de travailler? «Je ne pense pas que la collectivité travaillera moins, répond Oswald Sigg. Mais elle travaillera autrement, en accord avec les intérêts personnels et sociaux. Et ceux qui veulent gagner beaucoup continueront de travailler beaucoup.»
L’économiste vaudois Samuel Bendahan, socialiste, s’intéresse à l’idée depuis plusieurs années. Car selon lui, le revenu de base créerait «des incitations réelles»: «D’abord parce que de nombreuses études ont montré qu’on ne travaille pas pour l’argent mais par motivation intrinsèque, pour des causes ou pour des raisons sociales. Ensuite, parce que le revenu universel ferait disparaître les effets de seuil des prestations sociales. Actuellement, ceux qui sont à l’aide sociale et se remettent à travailler perdent le droit à certaines prestations. L’incitation au travail serait plus élevée avec un revenu universel. Enfin, si ce revenu était en place, plus personne n’accepterait les métiers ingrats. Cela obligerait donc l’économie à investir pour rendre ces métiers plus attractifs, ce qui rendrait plus juste le marché du travail.»

Samuel Bendahan prévient toutefois: «Il faut être conscient que cela modifierait drastiquement nos modes de fonctionnement. Avant de graver une telle idée dans la Constitution, il faut y avoir bien réfléchi. Parce que distribuer un tiers du PIB aux gens ne se fera pas sans augmenter massivement les impôts. De 30% aujourd’hui, la quote-part fiscale augmenterait au moins à 50%.» Faux, rétorquent les initiants: «Cela coûterait effectivement un tiers du PIB, soit environ 200 milliards, explique Oswald Sigg. Mais le revenu de base est en grande partie déjà financé si l’on réorganise l’Etat social, c’est-à-dire l’AVS, l’AI, etc. Et pour le reste, il y a plusieurs méthodes en discussion: hausse de la TVA, hausse de l’imposition des gros revenus et de la fortune, par exemple.» Des pistes auxquelles s’ajoutent d’autres possibilités, que les initiants ont détaillées dans un livre ad hoc*: une taxe sur les mouvements de capitaux, une taxe écologique, une réforme de l’impôt fédéral direct ou même la création de monnaie.

Le Comité d’initiative a 18 mois pour réunir 100 000 signatures et espérer que le peuple se prononce. Mais le principe d’un revenu de base fait déjà bondir les milieux économiques. «C’est une tromperie sur la marchandise, s’enflamme l’éditorialiste Beat Kappeler. Les nouilles ne tombent pas des arbres! C’est un mensonge que de prétendre que le pays continuerait de fonctionner avec un tel système. Et c’est une négation de ce qu’est l’Homme. La dignité, c’est aussi la capacité d’assurer seul sa subsistance, sans compter sur la collectivité. Quant au financement, c’est une plaisanterie: l’entrepreneur allemand Götz Werner, qui défend cette idée, admet lui-même que cela suppose un impôt de 50% sur le revenu de ceux qui continuent à travailler et une hausse de 50% de la TVA. Vous voyez ce qui reste…»

*«Le financement d’un revenu de base inconditionnel», Ed. Seismo, Zurich, 2010.

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28 avril 2012 6 28 /04 /avril /2012 06:17

 


 
Dans une interview accordée à nos confrères suisses de Mecanopolis que nous reproduisons dans nos colonnes, Thierry Meyssan revient sur l’offensive internationale contre la Syrie, la situation dramatique de la Libye et la campagne électorale en France. Comme un symbole, le « succès » français en Libye est un désastre, alors que paradoxalement, l’échec d’Alain Juppé en Syrie préserve les chances de peser dans le monde de demain. Alors que la crise syrienne annonce la fin du monde unipolaire et le bouleversement des anciennes alliances, la France n’a qu’une alternative : la reconquête de sa souveraineté ou l’errance mondialiste.
Mecanopolis : Thierry Meyssan, vous observez la situation en Syrie depuis plusieurs mois pour le Réseau Voltaire. Que pouvez-vous nous dire des dernières évolutions sur le terrain ?

Thierry Meyssan : Durant un an, la Syrie a affronté une « guerre de basse intensité ». Des milliers de mercenaires, venant de toute la région et ayant une expérience du combat en Irak et en Libye, ont saboté les infrastructures énergétiques et de télécommunication. Puissamment armés par l’OTAN, disposant de renseignements satellitaires, encadrés par des instructeurs occidentaux, ils ont tenté de semer la terreur et le chaos en perpétrant des crimes d’une violence inouïe. Simultanément, les médias occidentaux ont inventé une histoire de révolution/répression que leurs lecteurs et spectateurs ont gobée par assimilation : le schéma tunisien se reproduirait dans tous les pays où les gens parlent arabe.

Il n’y a pas à ce jour de bilan clair des victimes. La seule source indépendante crédible à laquelle on peut se référer est la Mission d’observation de la Ligue arabe. Elle était majoritairement composée d’experts de haut niveau (officiers supérieurs et diplomates), de nationalités différentes, et a pu librement se déployer dans tout le pays. Selon elle, il n’y a jamais eu de manifestations de masse contre le régime et, partant de là, jamais de répression. Surtout, les groupes armés ont fait autant de victimes parmi les civils que parmi les forces de sécurité (armée et police). Ce constat, qui contredit les assertions des puissances occidentales et du Golfe, a été rejeté par elles, alors mêmes que ce sont elles qui avaient voulu et composé cette Mission d’observation.

La « guerre de basse intensité » a pris fin avec le retrait états-unien consécutif au double veto russo-chinois et au déploiement des armes anti-aériennes russes. L’OTAN, ayant été contrainte d’abandonner son projet de bombardement de la Syrie, n’avait plus de raison de poursuivre sa stratégie préparatoire au sol. Les derniers combattants se sont retranchés dans un quartier de Homs, où ils ont proclamé l’Émirat islamique de Baba Amr. Durant un mois, ils ont organisé un show télévisé mondial pour faire accroire que leur bastion était « pilonné » par les forces syriennes ; ce qui n’a jamais eu lieu et ne pouvait pas avoir lieu puisqu’un détachement syrien était lui-même prisonnier à l’intérieur de l’Émirat islamique. En définitive, à la suite d’un accord conclu entre Claude Guéant et le général Assef Chawkat, les instructeurs français ont quitté Baba Amr et la plupart des mercenaires se sont rendus.

Comme toujours lorsqu’une guerre est finie, il reste des individus et des groupuscules isolés, animés par un esprit de vengeance, qui causent encore des dommages à la population. Quoi qu’il en soit, progressivement tout revient à la normale. Dans quelques jours se tiendront des élections législatives pluralistes, les premières que le pays aura connues depuis un demi-siècle. Les nouveaux partis politiques découvrent la possibilité de s’exprimer à la télévision et d’animer des débats publics. En définitive, la Syrie sort de cette épreuve appauvrie, mais renforcée.

Les efforts de l’OTAN pour faire tomber le régime de Bachar el-Assad ont jusqu’ici été mis en échec. Nous imaginons toutefois que cette coalition occidentale ne va pas abandonner ses projets. Quelles seront, selon vous, les prochaines actions de déstabilisation de la Syrie ?

En déployant en Syrie le système de défense anti-aérien le plus sophistiqué du monde, la Fédération de Russie a mis fin à la dominance aérienne des États-Unis et d’Israël au Proche-Orient. Or, la puissance des forces armées US repose principalement sur sa capacité de destruction aérienne, les forces au sol ayant montré leur incapacité à occuper un terrain. Washington n’a donc plus les moyens de sa politique.

La présence russe est massive. Il y a aujourd’hui plus de 100 000 ressortissants russes stationnés en Syrie et ce sont des militaires russes qui servent leur matériel de défense anti-aérienne.

L’équilibre stratégique s’est inversé en quelques années. Washington, qui n’avait pas réussi à entrer en guerre au Liban en 2005, y a livré une guerre par procuration en 2006, laquelle s’est soldée par la cuisante défaite d’Israël face au Hezbollah. Puis, le Pentagone a été contraint d’évacuer en 2011 les gigantesques bases militaires qu’il avait construites pour un siècle en Irak. L’OTAN vient de reculer en Syrie, et il n’est plus question d’attaquer l’Iran.

Bien plus que les États-Unis et Israël, ce sont les régimes arabes sionistes qui sont les grands perdants de cette nouvelle donne. Je pense particulièrement aux dictatures wahhabites d’Arabie saoudite et du Qatar. Je ne suis pas sûr qu’ils puissent survivre longtemps à leur défaite

Pouvez-vous nous expliquer en quelques mots quels sont les intérêts que servent l’OTAN dans la déstabilisation de la Syrie, et quel est leur but final ?

L’OTAN n’a d’alliance défensive que le nom. En réalité, c’est une organisation de supplétifs des États-Unis, au service de leurs ambitions impériales. La décision d’attaquer la Syrie a été prise lors d’une réunion au Camp David, le 15 septembre 2001, juste après les attentats de New York et Washington. Elle faisait partie d’une liste de 7 objectifs, après l’Afghanistan et l’Irak, il était prévu d’attaquer la Libye et la Syrie, puis la Somalie et le Soudan, et enfin l’Iran. Les préparatifs de la guerre contre la Syrie ont débuté après la chute de Bagdad, avec le vote du Syria Accountability Act, le 15 octobre 2003. Immédiatement, les premières sanctions ont été prises. Leur prétexte était que la Force de paix syrienne déployée au Liban pour mettre fin à la guerre civile s’y éternisait. Damas a retiré ses troupes, laissant le pays du cèdre à découvert face à l’ennemi israélien, mais les sanctions ont été maintenues. Depuis, tout a été essayé pour provoquer le conflit. Souvenez-vous par exemple de la manière dont on a accusé, sur la base de faux témoignages aujourd’hui annulés, le président Bachar el-Assad d’avoir commandité divers assassinats au Liban dont celui de l’ex-Premier ministre Rafic Hariri. Pour juger el-Assad, les Etats de l’OTAN et du CCG ont alors financé un tribunal d’exception, dont les règles violent les principes les plus élémentaires de la Justice et du Droit international. Et ainsi de suite.

Fondamentalement, la coalition anti-syrienne unit quatre composantes.

- Les États-Unis veulent poursuivre le remodelage du « Moyen-Orient élargi ». Il s’agit pour eux de casser les grands États historiques et de leur substituer de petits États ethniquement homogènes, plus faciles à manipuler. Ils entendent amputer le Nord-Est de la Syrie en vue de la création d’un Kurdistan avec des éléments irakiens, turcs, voire iraniens. Et amputer la côte syrienne pour déplacer le Liban vers le Nord et offrir une partie de son territoire actuel à Israël.

- De son côté la colonie juive de Palestine vise à briser « l’Axe de la Résistance ». Il lui faut changer le régime, renverser Bachar el-Assad, au profit d’un fantoche, Burhan Galioun, dont le seul programme politique est de rompre l’alliance syrienne avec le Hezbollah et l’Iran, ainsi qu’il l’a lui-même expliqué au Wall Street Journal.

- En ce qui les concerne, les dictatures religieuses du Golfe ont, pour survivre, un besoin vital d’éliminer le modèle laïque syrien. Celui-ci est très différent de ce que nous connaissons sous le même vocable en Europe, particulièrement en France. La laïcité syrienne n’est pas une cohabitation, une tolérance, entre communautés religieuse —et encore moins un cache-nez du racisme comme elle tend à le devenir en Europe , mais une véritable coopération entre croyants pour garantir la liberté de chacun de s’épanouir spirituellement en suivant la foi de ses ancêtres.

- Enfin, les multinationales de l’énergie convoitent le gaz de la région. On a découvert des réserves considérables en Méditerranée sous la croute de sel, et dans le continent. Ces gisements sont partagés entre l’Egypte, la Palestine occupée, le Liban, la Syrie, la Turquie et Chypre, mais leur centre se trouve à Qârâ, non loin de Homs. Nous venons en fait d’assister à la première grande guerre du gaz qui préfigure de nouvelles règles géopolitiques bien différentes de celles du pétrole. C’est aussi la raison pour laquelle, les grandes puissances du gaz sont si impliquées : la Russie, l’Iran et le Qatar.

En embarquant la France dans cette aventure, Nicolas Sarkozy et Alain Juppé ont cherché à satisfaire chacune des quatre composantes de la coalition ; Paris n’ayant aucun intérêt direct au conflit. La France a cru pouvoir jouer un rôle en tant qu’ancienne puissance mandataire, et monnayer ce rôle. Cependant, l’espoir de la victoire a laissé place à la réalité de la défaite et les Français vont être surpris de devoir payer la facture des crimes commis en leur nom.

Plusieurs mois après l’intervention de l’OTAN en Libye, pouvez-vous nous dire quelle est la situation dans ce pays, et qui le dirige ?

Personne ne gouverne la Libye. Et personne ne pourra la gouverner avant longtemps. J’avais expliqué lors de l’assassinat de Mouammar el-Kadhafi, mort sous la torture un jour après l’attaque de son convoi par les Français, que la disparition du « Leader » marquait l’anéantissement de la notion d’autorité dans une société tribale. Le but recherché a été atteint : la société libyenne est détruite, comme on a détruit la société en Somalie et en Irak.

Les partisans du « remodelage » ont étendu leur stratégie à l’Afrique du Nord. La contagion gagne maintenant le Mali et menace l’Algérie.

Permettez-moi de répéter qu’il n’y a jamais eu de révolution anti-Kadhafi en Libye, qui était apprécié par son peuple et n’a jamais envisagé de le massacrer. Par contre, il y a eu une sécession de la Cyrénaïque à l’initiative de la France et du Royaume-Uni pour le compte des États-Unis et d’Israël. On se dirige maintenant vers une partition du pays : rétablissement de la monarchie Senussie en Cyrénaïque, installation des Frères musulmans en Tripolitaine, et repli des anti-impérialistes au Fezzam.

En France, nous approchons du premier tour de l’élection présidentielle. Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon se sont auto désignés comme les candidats de l’antimondialiste. Pensez-vous qu’ils le soient réellement ?

Si nous abordons la question des programmes politiques, nous devons la penser en termes de partis, d’équipes, et pas de personnes. A l’inverse, si nous parlons des candidats, nous devons juger leur personnalité, leur compétence et leur vertu républicaine.

Je ne doute pas que Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon soient antimondialistes, mais l’important est de savoir si leurs équipes le sont. Les positions du Front national et du Front de gauche sont généralement anti-mondialistes, mais souvent ambiguës et parfois contradictoires. Seul des deux, le Front national a condamné les aventures militaires de Nicolas Sarkozy en Afghanistan, en Côte d’Ivoire, en Libye et en Syrie, mais il entretient un flou artistique à propos des États-Unis et d’Israël. Il est clair pour moi que le Front de gauche, malgré les efforts de son candidat, n’est pas anti-mondialiste. Je suis par contre dubitatif quant au Front national qui a soigneusement évité de clarifier en son sein cette question centrale.

Notre ami et camarade Pierre Hillard s’apprête à lancer, dans la continuité du texte d’Adrien Abauzit, un « appel à l’abstention » pour le deuxième tour de cette élection qui, sauf surprise, consacrera un duel entre Nicolas Sarkozy et François Hollande. L’idée est de donner le moins de légitimité possible au prochain président, de sorte à pouvoir ensuite contester son autorité – qu’il ne manquera pas de mettre au service de l’oligarchie mondialiste. Seriez-vous prêt à le signer, avec d’autres intellectuels français ?

D’abord, par principe, je me refuse à discuter en public de la stratégie de second tour avant que le suffrage universel ait parlé au premier tour.

Ensuite, je pense que le passage du vote blanc à l’abstention doit être murement réfléchi. Le premier exprime un refus de légitimer le choix présenté, tandis que le second manifeste une volonté de délégitimer les institutions. Nous avons évoqué tout à l’heure la Libye. J’ai vu ce que signifie l’effondrement d’un État, l’anarchie que Hobbes décrivait en disant qu’elle fait de l’homme « un loup pour l’homme », et je ne souhaite pas ce genre chose à quelque peuple que ce soit et surtout pas au mien.

Je pense comme Pierre Hillard, et certainement de très nombreux Français, que notre République n’est plus laïque, n’est plus démocratique et n’est plus sociale. Mais si nous appelons à délégitimer les institutions, nous ne pouvons en rester là. Nous devons aller jusqu’au bout : la Révolution ! Sommes-nous prêts ?

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27 avril 2012 5 27 /04 /avril /2012 10:18

 

J’ai voulu vous dire, aujourd’hui, que les Elohim vous regardent chaque jour et qu’’ils vous aiment. Peu importe les stupidités que vous faites, ils vous aiment. Souvenez-vous-en pour toujours. Rael (contact 365) http://fr.raelianews.org/news.php


 

Ils vous observent comme on observe un bébé, en disant. Allez, tu peux le faire ! C’est cela, l’amour qu’ont les Elohim pour nous. Nous n’avons pas assez d’une vie pour faire s’épanouir cet amour et le partager avec les autres, leur transmettre le Message. Ils ne l’accueilleront pas toujours d’emblée, mais il continuera à travailler dans leur cerveau, dans leur conscience. Lentement, ils seront entraines à devenir un avec le Message, un avec l’Humanité et devenir un avec eux-mêmes, parce que c’est bien de cela qu’’il s’agit. Nous vivons dans un monde d’illusions et il en sera beaucoup question au prochain stage.


Toutes ces divisions sont des illusions. Nous ne sommes pas divises, nous sommes UN. Mais la culture, l’éducation, la programmation sociale stupide, nous donnent l’illusion que nous sommes divises, mais nous sommes UN. Nous sommes UN de la même manière que les cellules qui composent un corps sont UN. Nous ne pouvons pas diviser les cellules; nous pouvons avoir l’illusion d’une division, puis vient la maladie, le cancer, c’est une illusion de division entre les cellules de votre corps. Mais elles sont UN, nous (notre corps) sommes UN, de la même façon que nous tous, nous sommes UN. Chacun d’entre nous est une cellule d’un grand corps qui constitue le bébé humanité. Et pas seulement ca, nous sommes UN avec les Elohim. C’est pourquoi quand vous donnez à quelqu’un, vous vous donnez à vous-même.


Nos cellules ont besoin que le liquide circule de l’une à l’autre par les capillaires. Il en va de même entre nous, nous aimons recevoir et donner au prochain, avec le même plaisir que j’ai reçu le Message et que je l’ai transmis; et de la même façon, j’espère, que vous le faites a votre tour.

Recevoir est bon, mais donner c’est mieux et transmettre le Message est la raison pour laquelle nous sommes en vie. Vous le ressentez. L’illusion de la division est à l’ origine de tout le mal vécu dans le monde, les guerres, la violence, la tuerie ; et tout cela, uniquement a cause de l’illusion de divisions. Mais lorsque nous nous rendons compte que nous sommes UN, tout ce qui arrive aux autres m’arrive a moi. Alors, qu’est-ce que je souhaite qu’il arrive aux autres ? Seulement du bien, de l’amour, parce que si je fais mal aux autres, je me fais mal a moi-même, puisque nous sommes UN. La racine philosophique profonde du Message, c’est l’unification fantastique, la fusion des cellules que constitue chacun des 7 milliards d’êtres humains sur Terre. Illusions de division, par la couleur de la peau, le pays, la langue ; ce sont toutes des illusions. Quand vous volez en avion, vous ne voyez pas de frontières, mais vous voyez une planète et si vous allez plus loin, vous voyez un ciel avec beaucoup de points et un de ces points, c’est la Terre. Nous sommes UN avec l’Infini; retournez toujours à l’ Infini ! Et lorsque nous sommes UN avec l’Infini, que sommes-nous ? Nous sommes nous-mêmes. C’est pour cela que tout le reste n’est qu’illusion.


Je vous aime et quand je le dis, je ne m’attends à rien de votre part, juste du bonheur.

Si, en entendant mes mots, vous ressentez ce bonheur, gardez-le chaque jour. Soyez heureux, pas trop, juste un peu plus chaque fois et faites-le grandir pour toujours. N’attendez pas, non plus, d’être heureux pour sourire, mais souriez pour être heureux. Si vous vous sentez déprime, quelque chose ne va pas, alors souriez et naturellement le bonheur viendra, parce que quand vous souriez, vous êtes UN avec toutes vos cellules. Quand je vis un grand problème de sante, et j’en ai vécu un dernièrement, je souris; parce qu’il n’y a rien d’autre a faire. Soit que j’aille sur la planète des Elohim et je suis heureux, ou que je survive et je suis heureux de toute façon. En souriant, j’ai senti venir une grande énergie. Gardez ce bonheur et pas seulement aujourd’hui, mais pendant un mois entier, une année entière, une vie entière, alors vous pouvez vieillir en harmonie et mourir avec le sourire... “Souriez; vous êtes sur l’écran des Elohim!! Raël

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